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Poids

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Il est bien connu que la nervosité peut entraîner la consommation compensatoire de nourriture. Aussi, provoquer une situation de détente peut à elle seule générer la régulation du poids. Les enregistrements d'hypnose / PNL vont toutefois bien au-delà de la simple détente...

La prise de poids est un phénomène complexe, lié à de très nombreux processus mais la plupart du temps d'ordre émotionnel. Pour être efficace, c'est donc à ce niveau qu'il convient également d'agir.

Tout en vous relaxant profondément, vous apprendrez à faire confiance à votre esprit inconscient pour sortir des influences négatives, à prendre de nouvelles directions… à trouver un sens nouveau… Vous retrouverez le plaisir de prendre votre temps pour manger sainement… en faisant le plein de satisfaction. Vous retrouverez le plaisir de bouger avec aisance et légèreté, à larguer les amarres des mauvaises habitudes, des aliments toxiques, de la "grignote"…

Voir aussi les articles "La Gestion du poids"

 

 

   

 

 

   

 

 

Emotions et appétit

La nervosité peut entraîner la consommation compensatoire de nourriture, c'est bien connu. Aussi, provoquer une situation de détente peut à elle seule générer la régulation du poids. La prise de poids est liée à de très nombreux processus, souvent d'ordre émotionnel, parfois d'identification ou de culpabilisation qui peuvent être positivement influencés par une relaxation et des suggestions ciblées autour de ces différents thèmes. Utiliser cet enregistrement chaque fois que la tension monte dans la vie quotidienne est un parfait complément aux substituts alimentaires et aux diètes parfois difficiles à gérer. Durée: 30:02

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Changer d'esprit et de silhouette

Tout en vous relaxant profondément, apprenez à faire confiance à votre esprit inconscient pour sortir des influences négatives, prendre de nouvelles directions… trouver un sens nouveau… Retrouvez le plaisir de prendre votre temps pour manger sainement… en faisant le plein de satisfaction. Retrouvez le plaisir de bouger avec aisance et légèreté, larguez les amarres des mauvaises habitudes, des aliments toxiques, de la "grignote"… Laissez votre inconscient faire le bon tri! Apprenez à prendre de la distance et retrouvez la joie de vivre grâce au fantasme magique… Durée: 32:49

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Le Yoga de la table

Relaxez-vous dans votre espace intérieur de calme et de sérénité. Prenez contact avec votre énergie de vie, pour qu'elle vous aide à utiliser au mieux toutes vos capacités, à faire les bons choix, sortir du doute et de la frustration. Grâce à une technique efficace, retrouvez la liberté de choisir, de trouver des satisfactions plus durables et plus constructives; loin des fausses faims, sans faim et sans fin...! Aidez-vous de vos souvenirs, agréables et valorisants et retrouvez la confiance en vous nécessaire pour surmonter les moments difficiles et cela de plus en plus aisément... Simple comme serrer son poing... ! Durée : 34:24
 

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Se libérer du sucre

La dépendance aux saveurs sucrées peut être la dépendance à une caresse intime qu’on se permet avec un aliment ou une série d’aliments qui goûtent le sucre. La dépendance au vrai sucre ou à des aliments qui n’ont pas de saveur sucrée mais sucrent rapidement le sang peut répondre à un besoin cérébral de substances apaisantes et bonnes pour le moral. Dans tous ces cas, la routine mentale qui s’est installée peut diminuer et disparaître avec la pratique régulière et l'écoute subconsciente induite dans ces enregistrements. Durée: 47:57

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Gérer la boulimie

La boulimie vraie est un palliatif pour quitter quelques instants le monde des angoisses, du mal vivre, de certains souvenirs... Cette faculté de se mettre en hypnose en mangeant aussi vite et autant que possible n'est pas donnée à tout le monde. Ceux qui l'ont expérimentée et la pratique régulièrement aimeraient savoir comment éviter les sentiments de culpabilité et la perte de l'estime de soi qui lui font suite ou encore les conséquences sur le poids ou le système digestif. Le contenu de ce CD, pratiqué de manière boulimique, aide à développer cette faculté de se mettre à distance de certaines émotions, dans un autre contexte... Durée: 33:12

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Article: La gestion du poids

Le principal problème de la surcharge pondérale est d’une part la modification de l’alimentation des animaux que nous mangeons et l’enrichissement abusif de notre alimentation par toute une série d’additifs donc en général, la qualité de notre alimentation, d’autre part la sédentarisation et pour terminer le stress global qui s’est installé dans notre société. Voyons comment ces trois facteurs ensemble vont interagir dans le stockage progressif des graisses:


Chronique d’une prise de poids annoncée


Un excès d’adiposité, diffus ou localisé, au niveau du ventre ou des fesses, est devenu un problème pour une majorité de femmes et d’hommes et bientôt d’enfants de nos régions.

De plus en plus de ces personnes sont diagnostiquées «obèses» lors d’une visite médicale! Ces troubles de la silhouette et ces surpoids ont des conséquences très néfastes sur la santé physique et sur le bien-être psychologique. Mais aussi des conséquences sur les soins de santé (sur les troubles cardio-vasculaire par exemple et l’incidence de ceux-ci sur le budget de l’INAMI).

Pour résoudre le plus confortablement possible et pour le plus longtemps possible un excès d’adiposité, il faut commencer par un bilan qui se base sur les connaissances actuelles en médecine, nutrition et psychologie des troubles du poids.

Il y a en effet de nombreuses causes de prise de poids. La plupart sont apparues avec la dérive alimentaire du monde industrialisé: En trois ou quatre millions d’années, depuis les premiers hominidés, le système digestif, la biochimie et les besoins physiologiques humains ont très peu changés mais depuis moins d’un siècle, nous mangeons, quelque fois sans le savoir, beaucoup d’aliments sucrés, des farines raffinées, de mauvaises graisses... et par ailleurs nous utilisons moins nos muscles!

Ces changements de comportement expliquent presque tous les problèmes actuels d’excès de poids, de lésions cardio-vasculaires, d’augmentation de certaines autres maladies dégénératives, inflammatoires… et de certains troubles du comportement et de l’humeur.

Par ailleurs le stress favorise la production d’insuline et le stockage des graisses. L’insécurité croissante dans un monde en permanent remaniement depuis un demi-siècle participe à l’augmentation de celui-ci.


Pourquoi et comment l’alimentation «moderne» a un effet «sucre» majeur?


Pour rappel, la glycémie (le taux de sucre dans le sang) doit rester constante, pour acheminer un taux de sucre stable et constant au cerveau notamment. L’insuline fabriquée par le pancréas est conçue pour incorporer les sucres dans les graisses et dans les muscles (spécialement ceux qui ne bougent pas. Un muscle qui est en mouvement incorpore en effet les sucres naturellement sans avoir besoin d’insuline).

Les glucides («les sucres») de la nouvelle alimentation humaine sont beaucoup plus raffinés ou digestibles que ceux de l’alimentation «à l’ancienne». Certains de ces glucides ont un goût sucré mais la plupart des aliments riches en glucides «rapides» ne paraissent pas «sucrant». Ces glucides rapides et abondants (comme dans le pain ou les pâtes) stimulent énormément la production d'insuline par le pancréas et cette insuline va ainsi encourager le stockage des graisses! (puisque les muscles ne sont pas en besoin… et sont des muscles de sédentaires).

Pour revenir à l’effet faiblement sucrant de l’alimentation à l’ancienne, il faut donc tenir compte de l’index glycémique des aliments et redéfinir le panier de la ménagère. (Voir article plus bas)


Rapport entre les graisses

La dérive alimentaire qui concerne le rapport entre les lipides consommés est particulièrement peu visible pour les consommateurs et les professionnels de la santé non spécialisés en Nutrition. Cette dérive est un des facteurs d'apparition ou d'aggravation de très nombreuses pathologies "modernes": surpoids androïdes et généralisés, maladies cardio et cérébro-vasculaires, maladies inflammatoires, certaines dépressions nerveuses, etc. Le phénomène central commun à ces problèmes est le déséquilibre alimentaire entre les acides gras de type Oméga6 et Oméga3. Le rapport alimentaire entre ces lipides (Oméga 6 / Oméga 3) est d'environ 1 dans l'alimentation ancestrale et dans les régions où l’obésité et les maladies cardio-vasculaires sont très peu fréquentes. Il se situe autour de 20 dans notre alimentation "moderne"!!!

Un apport lipidique équilibré s'obtient en orientant nos choix alimentaires vers les légumes verts, les poissons gras, les oeufs oméga 3 et les huiles de colza et de noix... et en évitant les aliments trop riches en Oméga 6: la plupart des autres huiles alimentaires (excepté l'huile d'olive en consommation "raisonnable") et les produits qui en contiennent (plats préparés, biscuiterie, frites et chips, etc.), les oeufs "standards", même "BIO", etc.


Le danger des régimes


Une alimentation trop calorique peut ne pas apporter assez d’éléments vitaminiques et anti-oxydants qui sont nécessaire à une bonne gestion du poids. Les mauvais régimes aggravent souvent cette situation et conduisent à une évolution vers une plus grande obésité!

Selon le magazine Pratiques de santé qui a passé les principaux régimes en revue (N°75, 15 janvier 2008, p. 6), les seuls à atteindre le « tableau d’honneur » sont les régimes Montignac et IG Minceur. Leurs principes majeurs ? Tout simplement limiter les aliments à IG élevés !
 

Améliorer la masse maigre

La masse maigre (la masse sans les graisses) doit être améliorée chez toutes les personnes qui ont un passé de multiples régimes "basse calorie", qui ne mangent pas assez de poisson et de viande depuis plusieurs mois ou années, qui ont un anneau gastrique depuis plusieurs mois, qui sont très sédentaires, qui vieillissent, qui reprennent une activité sportive, etc.

L'amélioration de la masse maigre ne s'observe pas nécessairement au niveau du volume des muscles (sauf si des exercices de musculation sont effectués dans ce but) mais au niveau du tonus physique et du poids: faire de la masse maigre (idéal pour déstocker la graisse) peut, dans les premières semaines, ajouter en muscle les kilos qui se perdent en graisse!

La manière de manger et de bouger doit être orientée vers l’augmentation des fibres musculaires qui sont les plus consommatrices de glucose sanguin car cette nouvelle masse musculaire et la manière de l’utiliser vont permettre une meilleure gestion du niveau de l’insuline dans le sang et donc de faciliter la diminution de la masse grasse…
 

Le bilan de psychologie «alimentaire»

La surcharge adipeuse peut être la conséquence mais aussi la cause de problèmes psychologiques. Certains mécanismes psychologiques peuvent être d’ordre alimentaire ou hormonal. Le trouble alimentaire le plus fréquent est la perte du «savoir manger»: la perte du rôle de l’alimentation dans le fonctionnement du groupe, familial et professionnel, la perte de certaines traditions alimentaires basées sur les ressources locales et adaptées à la nécessité de maintenir le plus longtemps possible un corps vivant et efficace, etc. La négligence alimentaire extrême peut être une conséquence d’un manque d’estime de soi, d’un état dépressif… Le chaos alimentaire et l’aberration alimentaire qualitative et quantitative qui en résultent sont responsables, outre la prise de poids, de troubles psychologiques (pouvant conduire eux-mêmes à des troubles aggravés du comportement alimentaire…).

Un trouble très fréquent est la prise alimentaire comme réponse à un stress chronique (par incapacité à répondre à une exigence de compétitivité sociale, par exemple). Cette situation est une explication plausible de l’augmentation des cas d’obésité là où il y a beaucoup de ces frustrations sociales et un accès facile et encouragé à une nourriture inadaptée aux besoins physiologiques.

Parmi les autres «troubles du comportement alimentaire» on trouve la boulimie et l'hyperphagie, le conditionnement ou dépendance au sucré, la «chocolatomanie», etc. L’anamnèse de certains de ces troubles peut révéler des traumatismes psychologiques graves dans l’enfance ou l’adolescence.


Pourquoi le stress fait-il grossir ?

Il existe trois raisons qui expliquent pourquoi on peut grossir lorsque l'on est soumis à des stress répétés:

1. Stress et perturbation de la digestion

La relaxation est intimement associée à la digestion car lorsqu'on se détend cela ouvre les voies digestives et inversement quand on entre en digestion on se détend par la même occasion. Le système nerveux autonome enclenche en effet ces deux voies en même temps. Alors que sous stress la tension musculaire est activée pour pouvoir réagir dans l'action et la digestion est coupée pour privilégier l'apport de sang non pas vers le tube digestif (qui monopolise une part importante de la masse sanguine) mais vers les muscles et le cerveau, encore et toujours, pour privilégier l'action (c’est le fameux mécanisme de survie en cas de danger décrit par Selye, l’inventeur du concept de stress = réponse d’adaptation au changement et notamment au danger).

Relaxation et digestion sont donc des voies qui fonctionnent de concert. Bon nombre de personne se dirige ainsi inconsciemment vers le frigo pour se détendre en profondeur et confonde envie de nourriture avec envie de paix et de détente profonde.

En se détendant régulièrement et en faisant du sport on empêche autant que possible cette confusion.


2. Stress et sucre dans le sang


La graisse du ventre principalement est sensible à l'insuline; Habituellement, chez quelqu'un de normalement constitué qui n'est pas sédentaire, quand le sucre monte dans le sang le pancréas active l'insuline pour l'incorporer dans les muscles et dans les tissus gras; Les personnes développant une activité physique intègrent donc le sucre naturellement vers les muscles (sans avoir besoin de fabriquer de l’insuline); les sédentaires par contre induisent la fabrication d'insuline car les muscles ne jouent plus leur rôle d’«incorporateurs» de sucre et car le taux de sucre (la glycémie) doit rester très stable dans le sang. Quand le glucose augmente chez les sédentaires, la graisse augmente donc.

Par ailleurs, le stress a tendance à faire monter le glucose dans le sang et libère l'insuline car le sucre prépare à l'action! Le carburant est sur place …. Les personnes sous stress fabriquent donc plus volontiers de l’insuline. Celle-ci incorporant ainsi les sucres dans le tissu adipeux.

On voit donc aisément pourquoi en cas de stress la voie automatique est l'incorporation du sucre dans le sang vers les graisses.

On peut donc grossir avec le stress car:

  • d’une part la digestion est perturbée ou carrément coupée et cela induit une tendance à vouloir manger PLUS en réalité pour se détendre inconsciemment

  • d'autre part car le stress stimule l’insuline et favorise l’intégration des sucres dans le tissu adipeux.

L'idée de produire un régime à basse calorie pauvre en protéine est donc mauvaise car les muscles n'ayant pas assez de protéines pour se développer ou SE MAINTENIR dégénèrent progressivement et deviennent, petit à petit, de pauvre carburateur à glucose, celui-ci allant naturellement s'incorporer dans les tissus adipeux

De plus cette façon de vivre, de manger et de se comporter favorise l'apparition d'un diabète, le diabète de type 2, puisque cet état de fait provoque une fabrication surdéveloppée de l'insuline et l’hyperfonctionnement du pancréas.
 

3. Stress, émotions et prise ou perte de poids

Le stress et l’état émotionnel de manière générale influencent le comportement alimentaire et le poids du corps. Cela s’observe souvent au cours de toute vie normale chez toutes les personnes, même de poids normal, comme durant les heures qui précèdent une épreuve scolaire ou après une rupture sentimentale. Le mal-être psychologique créé par ces situations peut changer le comportement alimentaire: Couper la faim chez certains, augmenter l’envie de certains aliments chez d’autres ou encore augmenter le besoin de grignotage salé ou sucré selon les personnes.

L’humeur triste par exemple augmente l’envie d’aliments sucrés qui ont un «effet plaisir» immédiat par leur saveur mais aussi un effet sédatif indirect via le métabolisme cérébral. Ce mal être s’accompagne également d’une augmentation de certaines hormones de stress qui peuvent faciliter le stockage de graisses…


Cercle vicieux


La mauvaise nutrition encouragée par ces états psychologiques cause ou aggrave, à son tour, des dysfonctionnements psychologiques: Fatigue chronique chez ceux qui privilégient les sucrent au détriment des aliments «protéinés», «dépressivité» augmentée par le manque en bons lipides alimentaires, sommeil plus long mais moins réparateur chez ceux qui mangent très glucidiques, etc.


Bilan


Tous les liens déjà connus de cause à effet entre l’état psychologique et le contenu de l’assiette expliquent la nécessité d’une gestion globale de certains problèmes émotionnels et de stress et de beaucoup de problèmes de surpoids par l’apprentissage de la gestion des émotions et par la correction nutritionnelle. Cette approche globale peut être nommée la «Psycho-Nutrition».

Cette approche globale est bien évidement particulièrement indiquée chez les personnes dont l’hérédité facilite la prise de poids mais on constate aujourd’hui un impact sur l’entièreté de la population du fait de la combinaison de facteurs synergiques: société en changement, alimentation modifiée, sédentarité.

En se combinant ces trois facteurs provoquent une tendance à l’obésité croissante de la population.

Les solutions nutritionnelles comprennent une correction des apports avec pour référence les équilibres alimentaires de l’alimentation pratiquée par l’homme depuis plusieurs millions d’années jusqu’à la dérive alimentaire de ces dernières décennies.

Cette dérive industrielle d’une part et la pratique de régimes dits «amaigrissants» ont provoqué:

  • une diminution des apports en protéines de haute valeur biologique,

  • du rapport entre protéines animales et végétales, du rapport entre les lipides

  • une augmentation des glucides rapides et une diminution des glucides lents et des fibres,

  • une diminution des éléments vitaminiques et autres qui permettent le bon fonctionnement du jeu hormonal qui contrôle le stockage et le déstockage des graisses de réserve…

La correction nutritionnelle proposée devrait ainsi être adaptée aux choix et au comportement alimentaire de chacun et viser à rétablir les bons équilibres entre tous les apports nécessaires à la physiologie humaine.

La mobilisation des réserves adipeuses et le maintien d’un poids de forme à long terme seront également dépendants de la quantité et de la qualité de l’activité physique.


Les limonades et les boissons de manière générale

Les limonades sont une véritable calamité en matière de sucre. Qu’elles soient sucrées ou «light» on comprend que ces deux catégories comportent toutes deux des désavantages. La recommandation est donc de tenter d’éliminer le goût sucré, autant que faire se peut, dans l’alimentation et dans le choix des boissons et plus particulièrement celle des enfants. Il faut retarder, le plus possible, l’introduction des boissons type limonade au cours de la vie de l’enfant. Cette recommandation prend tout son sens en ce qui concerne la synthèse des adipocytes qui s’effectuent dans l’enfance. En limitant l’apport de sucre dès le départ, on limite la création des futures poches à tissu adipeux. Pour les enfants, on recommandera donc les boissons naturelles à base de fruits sans sucre surajouté et de l’eau. Pour les adultes: idem et les boissons à base de jus de légumes, le thé avec du miel comme apport sucrant naturel (et tout une série de composants riches pour les autres fonctions physiologiques).
 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Un esprit sain dans un corps sain

Pour contrer ce phénomène de société, les SOLUTIONS à combiner sont:

1. Adoptez une activité physique régulière.

2. Pratiquez de la relaxation pour éviter la compulsion vers la nourriture alors que le réel besoin est la détente et, d’autre part, minimiser la préparation à l’action et la fabrication anormale de l’insuline en état de stress.

3. Adoptez un régime riche en protéines pour donner au muscle la possibilité de se développer et retrouver son rôle de carburant au glucose apporté par l'alimentation.

4. Adoptez une alimentation à indice glycémique bas, en privilégiant notamment les fruits et légumes.

5. Limitez la consommation de produits industriels raffinés, trop riches en sucre, en sel, en additifs ou en arômes.

6. Mangez aussi bio et complet que possible, ceci afin d'augmenter la qualité de l’alimentation et de favoriser un indice glycémique plus bas. Exemple: il est très facile et peu coûteux de remplacer le sucre blanc raffiné des industriel (vide de tout nutriment) par du sucre bio intégral, riche en vitamines et sels minéraux et excellent pour les dents!

7. Mangez moins (se servir une assiette et ne PAS se resservir!)

8. Evitez les produits dits "light" ou allégés.
Outre la présence d’édulcorants et autres substituts chimiques, ces produits perturbent l’organisme en le confrontant à une nourriture qui n’en est plus vraiment une.

9. Buvez de l'eau ou du thé de qualité de préférence à toute autre boisson.

10. Pensez à la méta-relaxation si vous avez besoin d'une aide psychologique lors d'un régime ou pour vous aider à juguler votre stress.

 

Voir également le site Nutriwell sur l'aliment'action au naturel

http://www.nutriwell.ch

 

Ces enregistrements ne sont en aucun cas conçus pour être un substitut à un traitement médical ou psychologique approprié mais pour les compléter et constituer une aide psychologique non personnalisée à domicile.

 

 

 

www.lemieuxetre.ch / www.solutionsbio.ch / www.8fondamentaux.com
Consulting Ecologique / Benoît Saint Girons / Tél: +41 76 532 8838 /
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