Les différentes problématiques de l'eau et l'importance 
	de sa vitalisation!
	Constitué à 65% d'eau, l'organisme a un besoin vital 
	d'eau de qualité. Eau en bouteille ou eau du robinet, sa qualité "organique" 
	laisse le plus souvent à désirer et les différents polluants ou minéraux en 
	excès ne sont qu'une partie du problème. De nombreux filtres promettent une 
	eau purifiée mais bien peu sont capables de revitaliser l'eau aux normes 
	d'un organisme vivant. Nutriwell vous présente les différentes 
	problématiques de l'eau et les meilleures solutions du marché.  
	L'eau et la vie!
	
	Principal constituant du corps humain (70%!), l'eau est un facteur de santé 
	et de vitalité de tout premier ordre. Sa qualité "organique" laisse 
	toutefois souvent à désirer, tant au robinet qu'en bouteille. Découvrez 
	comment faire retrouver à l'eau sa pureté et sa vitalité originelle!
	
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	Boisson et santé
	
	En matière de boisson, nous avons l'embarras du choix mais les options 
	véritablement saines ne sont pas légions, n'en déplaise au matraquage 
	publicitaire:
	les sodas et autres boissons plus ou moins pétillantes offrent - lorsqu'ils 
	sont consommés au quotidien - un aller simple vers les problème d'obésité ou 
	de diabète voire pire encore dans leurs versions light lorsqu'elles 
	renferment des substances aussi problématiques que l'Aspartame ou l'Acesulfame 
	K. Voir notre article sur les sucres et les édulcorants. 
	les jus de fruits sont nettement moins nocifs mais suffisamment boostés en 
	sucre pour ne pas être recommandables au-delà d'un verre par jour. Rappelons 
	ainsi que les jus de fruits « sans sucre ajouté » contiennent l’équivalent 
	de 17 morceaux de sucre par litre!
	le café et autres boissons stimulantes (caféine, taurine,...) "réveillent" à 
	petite dose mais épuisent l'organisme à haute dose, en l'acidifiant et en 
	limitant l'assimilation des vitamines des aliments tout en favorisant la 
	déshydratation.
	le lait - tout au moins dans sa version pasteurisée - est une "sacrée 
	vacherie" dont il conviendrait de limiter sa consommation, d'autant que le 
	calcium du lait est difficilement assimilable. 
	le vin rouge et certaines bières peuvent être bénéfiques - ne serait-ce que 
	parce qu'elles font plaisir - mais les alcools - qui déshydratent - ne 
	sauraient être recommandés qu'avec modération.
	le thé est une boisson de vitalité et de bien-être (voir notre article l'art 
	des thés de qualité) mais la qualité des feuilles et de l'eau feront une 
	grande différence et le thé ne possède pas les vertus hydratantes de l'eau.
	
	Nous y voilà donc! L'eau est la seule boisson véritablement compatible avec 
	un organisme vivant, pour optimiser les fonctions cellulaires et 
	métaboliques, réguler la température (transpiration) et l'homéostasie de 
	l'organisme, protéger l'estomac de l'acide chlorhydrique, lubrifier les os, 
	transporter les éléments nutritifs et éliminer les déchets. Aqua n'est 
	"simplex" qu'en apparence et ce n'est pas pour rien que même la vache bois 
	de l'eau!
	Il est impossible de vivre plus de quelques jours sans eau, substance la 
	plus abondante du corps humain avec une proportion moyenne de 70% mais 
	variant de 55 à 75% en fonction de l'âge mais aussi de la corpulence et du 
	sexe. Les jeunes hommes maigres auront ainsi davantage d'eau en proportion 
	que les vieilles femmes obèses. Les tissus maigres tels que les muscles 
	renferment en effet plus d'eau que les corps gras. Un embryon de deux mois 
	est constitué de 97% d'eau. Chez un adulte, le sang est constitué à 83% 
	d'eau, les tissus cérébraux 85% et même les os en contiennent à hauteur de 
	22%! En nombre de molécules, c'est encore plus étonnant puisque l'eau 
	représente 99% des molécules des 60 000 milliards de cellules qui composent 
	un organisme!
	C'est ainsi qu'en naturopathie, des afflictions aussi courantes que les 
	rhumatismes, les troubles intestinaux (constipation, colites), les maux 
	d'estomac, l'hypertension, le cholestérol, le surpoids, les allergies ou 
	encore le stress peuvent être lié à déficit hydrique par rapport aux besoins 
	de l'organisme. Comme le souligne le naturopathe Alain Huot, "Bien boire 
	redonne son autonomie au processus de guérison naturelle" et de s'interroger 
	"Il est vrai qu'apprendre à boire ne fait rien vendre! Est-ce pour cela que 
	plus personne n'enseigne aux enfants à boire de l'eau ?" (1) En quoi, il n'a 
	que partiellement raison, au regard des problèmes liés à la qualité de 
	l'eau...
	
	
	
	La valeur de l'eau
	
	« Ne laissez pas une seule goutte d’eau tombée sur Terre 
	regagner la mer sans avoir servi le peuple.»
	
	Parakkama-Bahu I, roi de Sri Lanka (1153-1186) 
	
	A l'échelle de la planète, les ressources en eau sont un sujet de 
	géopolitique brûlant et il est d'opinion que « les guerres du XXIe siècle 
	éclateront à cause de l’eau ». Réalité ou fiction (l'eau est une ressource 
	tellement stratégique que les Etats ne trouvent généralement pas loyal ou 
	responsable de l'utiliser comme moyen de chantage vis-à-vis de leurs 
	voisins), il est un fait que la pénurie menace certaines régions et que 40% 
	de la population mondiale connaît déjà des difficultés pour obtenir son eau. 
	1,2 milliard de personnes ne disposent pas d'eau potable et, chaque année, 
	près de 2 millions de personnes (dont 1,1 millions d'enfants) meurent 
	d'avoir bu une eau souillée (Rapport “Progrès en matière d’assainissement et 
	d’alimentation en eau” de l’UNICEF et de l’OMS de 2010.) Associée aux 
	maladies et manque d'hygiène, l'eau insalubre est ainsi la première cause de 
	mortalité dans le monde!
	« Si par comparaison on considère que la totalité de la masse d'eau 
	planétaire représente par exemple 1000 litres, soit 1m3, et bien cette eau 
	douce, liquide vital dont la vie de notre planète dépend, représente 3,2 
	centilitres, soit 3,2 dix millièmes de la totalité, c'est-à-dire à peu près 
	un dé à coudre! » précise Jacques Collin dans son stimulant ouvrage 
	L'insoutenable vérité de l'eau. 
	« Au cours du siècle dernier, l’utilisation mondiale d’eau a augmenté deux 
	fois plus vite que le taux de croissance démographique. La pénurie d’eau 
	touche déjà tous les continents et plus de 40 pour cent de la population de 
	la planète. D’ici 2025, 1,8 milliard de personnes vivront dans des pays ou 
	des régions victimes de pénuries d’eau absolues, et deux tiers de la 
	population mondiale pourraient être exposés à des conditions de stress 
	hydrique. » soulignait Jacques Diouf, le Directeur général de la FAO, le 22 
	mars 2007.
	Le besoin en eau va croissant et la faute incombe au changement climatique 
	mais également à la modification des habitudes alimentaires avec, à 
	l'échelle mondiale, une consommation de plus en plus importante de viande. 
	Or la production d’un kilo de viande de bœuf nécessite entre 5 000 et 25 000 
	litres d’eau contre 500 à 2 000 litres pour un kilo de blé. Globalement, 
	l'agriculture est le premier consommateur d’eau douce de la planète avec 70% 
	des prélèvements (et jusqu'à 95% dans certains pays en développement!)
	Nous avons donc tous, via nos choix alimentaires, une responsabilité limpide 
	par rapport à l'eau. Si « l’eau courante ne se corrompt jamais » (Proverbe 
	chinois), le système a eu tendance à la capter pour en faire une source de 
	profit là où elle devrait être un droit fondamental. C'est ainsi qu'en Inde 
	une cinquantaine de villages ont vu leur nappe phréatique se réduire 
	considérablement parce que Coca-Cola y puisait pour la production de son eau 
	Dasani ensuite exportée... Des initiatives telles que celle des "Porteurs 
	d'eau" de l'association France-libertés vise à faire reconnaître l'eau comme 
	étant un "bien commun de l'humanité" et à assurer pour chaque être humain un 
	minimum de 40 litres d'eau potable par jour.
	
	
	
	Les différents types d'eau
	
	"Nous sommes ce que nous buvons"
	Dr Henri Coanda, père de la Dynamique des Fluides
	
	Il y a l'eau et il y a le bas et toutes ne se valent pas du point de vue de 
	la santé et de la vitalité. Essayons d'y boire un peu plus clair:
	Les eaux minérales sont officiellement des eaux qui possèdent des 
	caractéristiques chimiques stables "de nature à apporter ses propriétés 
	favorables à la santé". En réalité, ce sont surtout de belles opérations de 
	marketing. En effet, astreintes à aucune norme réglementaire (elles ne sont 
	pas visées par les normes EDCH régissant les Eaux Destinées à la 
	Consommation Humaine), elles sont généralement beaucoup trop minéralisées 
	pour être consommées à longueur de journée ou même obtenir l'appellation de 
	"potable". "L'eau en bouteille n'est pas plus protégée de la pollution que 
	l'eau du robinet. Elle est même moins contrôlée" note ainsi Jean-Luc Tanly 
	de l'Association pour un contrat mondial de l'eau. 
	
	
	Certes, l'organisme a besoin de minéraux et d'oligoéléments mais en petite 
	quantité et une consommation d'eau minérale toute la journée l'obligera à 
	puiser dans ses réserves énergétiques pour éliminer le surplus, avec un 
	risque d'épuisement des organes filtres (reins notamment) ou d'encrassement. 
	En outre, une eau trop chargée ne pourra remplir ses fonctions de transport 
	des nutriments et d'élimination des déchets (comment "prendre" lorsque l'on 
	est déjà "plein" ?) Enfin, la plupart des minéraux contenus dans les eaux 
	sont anorganiques et donc très peu assimilables par l'organisme, sauf 
	lorsqu'ils sont bus à la résurgence de la source, dans le cadre de cures par 
	exemple (cures qui ne doivent toutefois pas dépasser 21 jours à cause 
	justement des minéraux). "Boire une eau minérale à sa source, et boire la 
	même eau stockée en bouteille, présente autant de différence que d'admirer 
	un animal sauvage, évoluant librement dans son milieu naturel, et de voir le 
	même, empaillé dans une vitrine du Museum d'Histoire Naturelle" précise 
	Jacques Collin (6)
	"Les végétaux, plantes, fruits et légumes devraient être nos fournisseurs 
	quotidiens en minéraux organiques, seuls assimilables. L'eau n'est pas 
	intéressante pour ce qu'elle apporte, mais pour ce qu'elle emporte" précise 
	le bioélectronicien Richard Haas (4), sa dernière remarque (une citation du 
	Dr Jeanne Rousseau) devant toutefois être nuancée: une eau bien structurée 
	apporte beaucoup!
	Au final, "utilisées à dose journalière comme eaux de table, [les eaux 
	minérales] conduisent à des sulfatages des milieux intérieurs et préparent 
	le terrain d'affections lourdes" précise Patrice Stegmann (5). "Boire ces 
	eaux là, c'est aller dans le sens contraire de la vie, se laisser glisser 
	sur les terrains des maladies et de dégénérescence [...] c'est l'abaissement 
	insidieux et silencieux des énergies cellulaires micro-vibratoires" 
	renchérit Jacques Collin (6).
	Le bon sens vis-à-vis des eaux minérales consisterait donc à les consommer 
	avec grande modération et à se cantonner aux moins minéralisées possibles 
	(Mont Roucous, Rosée de la Reine,...) Au-delà de 1500 mg / litre 
	(c'est-à-dire 1500 parties par million) de minéralité, les spécialistes 
	estiment en effet qu’une eau est impropre à une consommation courante. Or, 
	dans les rayons de la Migros Suisse par exemple, quasiment toutes les eaux 
	affichent des teneurs supérieures à 1500 mg / litre! Une aberration 
	sanitaire!
	
	Qu'est-ce que le TDS ? TDS est l'acronyme de "Total des solides dissous" et 
	mesure la concentration totale des substances dissoutes dans l’eau à savoir 
	un certain nombre de sels inorganiques et quelques matières organiques. 
	Selon la plaquette d'information du site http://www.safewater.org, "les sels 
	inorganiques communs trouvés dans l’eau incluent le calcium, le magnésium, 
	le potassium et le sodium qui sont tous des cations et des carbonates, 
	nitrates, bicarbonates, chlorures et sulfates qui sont tous des anions. Des 
	cations sont des ions chargés positivement et des anions sont des ions 
	chargés négativement [...] La directive canadienne pour le TDS est de moins 
	de 500 milligrammes par litres." 
	
	Une eau de source est une eau minérale dont la caractéristique est de 
	provenir de sources de surface (et non souterraine). Elle est non traitée et 
	naturellement alcaline (PH supérieur à 7) avec un effet diurétique doux. Sa 
	teneur en minéraux n'est pas constante mais bien plus raisonnable du point 
	de vue de l'organisme, inférieure à 150 mg / litre. C'est une eau au goût 
	"nature" qui peut se boire au quotidien mais qui reste sujette à la 
	problématique des bouteilles en plastiques (voir plus bas) et qui devrait 
	être revitalisée avant consommation.
	
	
	
	L'eau de table - communément appelée "eau du robinet" est une eau rendue 
	potable par traitement et qui répond aux normes de qualités en vigueur. Elle 
	contient parfois plus de minéraux que certaines eaux de sources mais 
	toujours moins que les problématiques "eaux minérales" ce qui en ferait une 
	eau de consommation courante si ne se posaient les questions du traitement 
	et des normes en vigueur, susceptibles de ne pas être suffisamment 
	protectrices des consommateurs (en l'état actuel des connaissances, des 
	intérêts économiques ou de la frilosité des politiques face à ce sujet pour 
	le moins sensible...) 
	Au-delà d'investissements publics parfois considérables, l'eau courante est 
	de loin la moins coûteuse - entre 100 et 600 fois moins chère que l'eau 
	minérale - et il est vrai que que nous pouvons déjà être reconnaissants d'en 
	disposer sans restriction. A l'échelle du monde, nous avons de la chance, 
	comme nous l'avons vu plus haut.
	C'est également l'eau qui fait l'objet du plus grand nombre de contrôle 
	sanitaire pour être en bout de tuyauterie qualifiée de "potable", terme 
	administratif à minima dont nous ne saurions nous satisfaire dans une 
	optique de santé et de vitalité, comme nous le verrons un peu plus loin...
	Qu'elle provienne des eaux souterraines ou des eaux de surface (rivières, 
	lacs, fleuves), cette eau subira un traitement variable, en fonction de sa 
	qualité originelle et des terrains traversés (calcium, magnésium, sodium, 
	potassium, bicarbonates, sulfates, chlorures…). Dans le verre, elle sera 
	donc "potable" mais pas nécessairement "buvable" d'un point de vue gustatif 
	et encore moins "organique" c'est-à-dire adaptée à notre organisme. 
	"Les eaux de distribution urbaine sont des eaux complètement alcalines et 
	oxydées, dépourvues de toute richesse électronique, concourant activement à 
	notre dévitalisation" précise Jacques Collin (6)
	Passons sur les problèmes d'entartrage liés à une eau trop dure (teneur 
	élevée en calcium et en magnésium) pour nous arrêter sur le goût de l'eau. 
	Cette odeur de javel, nous la devons au chlore qui est introduit - en 
	quantité minimale: 1 goutte pour 1000 litres selon les directives 
	européennes (mais 10 g/L aux Etats-Unis et jusqu'à 30 g/L en Italie et alors 
	qu'on suspecte le chlore d'être cancérigène!) - à la sortie de l'usine de 
	traitement pour éviter une contamination de l'eau dans les canalisations. 
	L'astuce pour y échapper (au goût mais malheureusement pas aux incidences du 
	chlore sur la structure même de l'eau), le chlore étant une substance très 
	volatile, est de laisser reposer l'eau quelques heures dans une carafe. Dès 
	lors, on aurait tout intérêt à utiliser une Carafe TC Energy ou une 
	équivalence afin de revitaliser son eau par la même occasion.
	
	
	
	Terminons cette présentation sommaire avec l'eau distillée, obtenue en 
	condensant la vapeur d'une eau bouillie. Une telle eau, sans aucune impureté 
	ni minéraux est bénéfique aux appareils électroménagers sensibles au 
	calcaire mais est impropre à la consommation humaine ou animale. En dépit de 
	correspondre à la formule scientifique H2O (deux atomes d'hydrogène et un 
	atome d'oxygène) - tout comme l'eau de pluie, la neige et la glace - une 
	telle eau est en effet trop "pure" pour répondre aux besoins de l'organisme 
	et permettre son homéostasie, d'autant qu'elle aura tendance à "pomper" les 
	minéraux présents dans le corps, de la même manière qu'elle se charge des 
	minéraux et autres oligoéléments au contact de la roche. Selon un article de 
	Lara Fabrizi pour la Société Lenntech, une eau trop douce (faible teneur en 
	calcium et magnésium) serait d'autant plus à éviter que "l'eau faiblement 
	minéralisée est hautement agressive pour les matériaux avec lesquels il 
	vient en contact. Elle adsorbe facilement les métaux et certaines substances 
	organiques des tuyaux, des revêtements, des réservoirs de stockage et des 
	conteneurs." Voilà pourquoi un adoucisseur d'eau (destiné au circuit d'eau 
	chaude) ne devrait jamais être relié au réseau d'eau alimentaire! "Vouloir 
	tout aseptiser est impossible et discutable" met en garde Patrice Stegmann 
	(5).
	
	
	L'eau du robinet
	
	
	Voir le reportage "Du poison dans l'eau du robinet"
	de Sophie Le Gall, diffusé sur France 3
	le 17 mai 2010 et le 2 mars 2012
	
	La question la qualité de l'eau du robinet est pour le moins légitime au 
	regard des pollutions ambiantes: pesticides, nitrates, phosphates, résidus 
	de produits chimiques ou de médicaments, traitement de l'eau ou vétusté des 
	canalisations, notre eau est soumise à rude épreuve! 
	Le traitement de l'eau tout d'abord. Selon certains experts et médecins, il 
	y aurait ainsi un lien entre les sulfates d'aluminium (alun) utilisés pour 
	épurer l'eau et le développement de maladies neurodégénératives comme la 
	maladie d'Alzheimer. Selon Henri Pézérat, toxicologue et directeur de 
	recherche honoraire au CNRS, "plusieurs études épidémiologiques ont en effet 
	conclu à une augmentation notable de l'incidence de la maladie d'Alzheimer 
	avec une concentration anormalement élevée de l'aluminium dans l'eau." (2) 
	Moins grave, le chlore et l'ozone utilisés sont oxydants et, en 
	naturopathie, considérés ainsi comme des perturbateurs du système 
	immunitaire.
	Les pollutions, ensuite. Potentiellement, il est possible de trouver plus de 
	100 000 molécules chimiques dans l'eau, chiffre correspondant au nombre de 
	molécules de synthèses fabriquées par les industriel. Rappelons que sur ces 
	100 000 substances commercialisées en Europe, 3% seulement ont été soumises 
	à des tests toxicologiques complets…1000 produits chimiques nouveaux sortent 
	en outre tous les ans… Voir le site de Greenpeace http://www.vigitox.org et 
	le conte écologique De l'air! Or, rappelle l'hydrosophe Yann Olivaux, les 
	normes EDCH "ne prennent en compte que quelques dizaines de molécules! 
	Ajoutons que les normes actuelles n'intègrent pas, par exemple, la longue 
	liste des résidus médicamenteux et hormonaux d'origine humaine ou 
	vétérinaire (élevages hors-sol)" (3)
	Selon le Ministère français "Il est difficile d'évaluer de manière précise 
	les pathologies réellement attribuables à l'eau d'alimentation dans la 
	mesure où la part d'exposition liée à l'eau d'alimentation est souvent 
	limitée et estimée à 10 % des apports totaux pour de nombreuses substances 
	chimiques." 
	D'où il est admis: 
	1. Que des pathologies sont possibles à cause de l'eau 
	2. Que l'eau du robinet transmets des substances chimiques.
	3. Que l'administration (française en l'occurrence) se cache derrière la 
	difficulté à mesurer les interactions entre molécules chimiques (la synergie 
	de ces substances est en effet une grande inconnue et un motif légitime de 
	craintes) pour ne rien faire.
	Dès lors, c'est bien la question des normes admises qui se pose. La norme 
	européenne fixe ainsi le taux limite de nitrates dans l'eau à 50 mg/l alors 
	que l'Organisation Mondiale de la Santé (OMS) recommande 25 mg/L seulement! 
	En matière de chlore, les 0,1 mg recommandés par la directive européenne 
	n'ont rien à voir avec l'Italie et ses 30 mg/l. En ce qui concerne le fluor, 
	les 1.5 mg/l recommandés par l'OMS sont allègrement dépassés par L'Agence de 
	Protection Environnementale Américaine et son niveau de contamination 
	maximal de 4.0 mg/l. Bref, il y a normes et normes...
	"N'affolez pas la population. Surtout ne créez pas de panique, ce serait 
	encore plus catastrophique! Nous sommes parfaitement conscients du problème, 
	mais vous ne pouvez pas nous demander de tout résoudre en claquant des 
	doigts [...] Ce sera progressif mais nous y arriverons... " [...] Depuis, 
	rien n'a changé. Cet homme a vu les ministres passer, et les opérateurs de 
	l'eau continuent de traiter l'eau avec de l'aluminium un peu partout en 
	France et dans le monde. (Extraits du livre Menace sur nos neurones, p.109) 
	Cela est d'autant plus inquiétant que le seuil pour un effet de l'aluminium 
	est très bas (3,5 microgrammes par litre) alors que la norme européenne 
	autorise jusqu'à 200 microgrammes!
	 
	
	"Les autorités sanitaires veulent nier coûte que coûte la relation entre 
	l'aluminium dans l'eau du robinet et les démences de type Alzheimer. Je n'ai 
	jamais constaté un écart aussi scandaleux entre leur déclaration à la presse 
	et le contenu des études scientifiques qui apportent des éléments de preuve 
	accablants. Même dans l'affaire de l'amiante, l'écart n'était pas aussi 
	grand!" (Henri Pézerat, directeur de recherche honoraire au CNRS, entretien 
	avec les auteurs du livre ci-dessus)
	
	Selon les normes françaises, une eau potable doit par exemple être exempte 
	de germes pathogènes (bactéries, virus) et d'organismes parasites. Elle ne 
	doit contenir certaines substances chimiques qu'en quantité limitée 
	notamment pour les nitrates et les phosphates, les métaux lourds, ou encore 
	les hydrocarbures et les pesticides. (Décret n°2001-1220 du 20 décembre 2001 
	relatif aux eaux destinées à la consommation humaine , à l'exclusion des 
	eaux minérales naturelles, JORF du 22 décembre 2001, qui met en conformité 
	le droit français avec la directive européenne du 3 novembre 1998). On 
	notera aussi que cette norme ne mentionne effectivement pas les résidus de 
	médicaments...
	... et pour cause puisque "Les stations [d'épuration] n'ont pas été conçues 
	pour traiter spécifiquement des composés organiques à l'état de traces comme 
	le sont les médicaments" selon le rapport "Médicaments et environnement " de 
	l'Académie nationale de Pharmacie de septembre 2008. 
	"Le fait qu'une eau soit conforme aux normes, c'est-à-dire potable, ne 
	signifie donc pas qu'elle soit exempte de matières polluantes, mais que leur 
	concentration a été jugée suffisamment faible pour ne pas mettre en danger 
	la santé du consommateur" indique le CNRS. A nouveau Paracelse: "Rien n'est 
	poison, tout est poison" mais quid de la bioaccumulation de ces substances 
	chimiques sur des dizaines d'années ? 
	Rappelons que les tests réalisés en avril 2004 à l’initiative du fond 
	mondial pour la nature (WWF) ont décelé dans le sang des parlementaires 
	européens une cinquantaine de produits chimiques toxiques dont des résidus 
	de pesticides retirés du marché depuis des années, de phtalates ou de 
	retardateurs de flamme bromés... Trois études internationales ont également 
	montré que le sang des cordons ombilicaux des nouveaux-nés contenait des 
	centaines de molécules toxiques... 
	Le site Bioaddict.fr ose ainsi poser la question: "Existe-t-il un lien entre 
	le cancer et l'eau potable ?" Réponse: "Oui, d'après le WWF et une vingtaine 
	de scientifiques". "Les normes de qualité n'ont pas évolué malgré les 
	nouvelles connaissances sur des polluants à effet hormonal (certains 
	pesticides, certaines hormones, le bisphénol A...) ou sur la présence de 
	dérivés médicamenteux", indique le WWF et le médecin David-Servan dans un 
	communiqué de juin 2009. 
	Quoi qu'il en soit, "toutes ces raisons prouvent que l'argumentaire majeur 
	des promoteurs et partisans de l'eau du robinet, qui consiste à dire que 
	l'eau est l'aliment le plus surveillé en France, cache une réalité 
	objectivement très relative!" conclut Yann Olivaux (3)
	
	L'eau en bouteille
	
	
	Selon le site Bioaddict.fr, "une enquête menée en 2007 par la Direction 
	générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des 
	fraudes (DGCCRF), jugeait 22% des eaux minérales non conformes aux teneurs 
	indiquées ou aux normes en vigueur. Des concentrations anormales de baryum, 
	manganèse... ont été répertoriées parmi ces eaux embouteillées en France et 
	dans l'Union Européenne. L'enquête note aussi des déficits en minéraux par 
	rapport aux teneurs indiquées." Sur 21 eaux minérales testées par Que 
	Choisir en juillet 2004, seules 5 étaient également adaptées à la limite des 
	1500 mg /l évoquée plus haut... Enfin, une enquête menée en 2008 aux 
	Etats-Unis a révélé que certaines marques d'eau embouteillée renfermaient 
	les mêmes contaminants que l'eau du robinet (Environmental Working Group, 
	Drinking Water - Bottled Water Quality Investigation : 10 Major Brands, 38 
	Pollutants) Et pour cause: 40% de l'eau distribuée en bouteille dans le 
	monde serait en fait de l'eau du robinet à laquelle ont été rajoutés des 
	minéraux!
	Ceci est d'autant plus ridicule que les minéraux contenus dans l'eau ne sont 
	généralement pas bio-assimilables par l'homme. "L'être humain doit passer 
	par le monde végétal ou le monde animal pour pouvoir absorber de façon 
	optimale ses minéraux" rappelle le naturopathe Alain Huot, qui précise à 
	propos du calcium de l'eau "le calcaire, substance inorganique, un carbonate 
	de calcium, ne peut être absorbé par l'homme en l'état. Pire, il entrerait 
	en compétition avec le calcium organique issu du monde végétal et animal, 
	limitant son absorption." (2) "Ces minéraux ne peuvent être assimilés par 
	l'homme, et s'ils le sont, c'est sous la forme bien particulière 
	d'oligo-éléments ou de complexes organo-métalliques. L'assimilation directe 
	sous la forme brute minérale n'est possible que dans des quantités 
	insignifiantes." précise Jacques Collin (6). En clair: c'est en mangeant que 
	l'on fait le plein de minéraux et non en buvant de l'eau!
	En réponse aux accusations du WWF sur la qualité de l'eau du robinet et le 
	conseil adressé aux personnes à la santé fragile de consommer de préférence 
	de l'eau en bouteille (Cf. ci-dessus), les Académies françaises de médecine, 
	de pharmacie et de l'eau ont publié le 2 juillet 2009 un communiqué 
	rappelant que "préconiser l'eau en bouteille et les carafes munies de 
	filtres exigerait au minimum de garantir l'absence de micropolluants dans 
	les bouteilles et d'être sûr que les carafes en plastique ne sont pas source 
	de relargage de molécules indésirables". 
	Eaux minérales et eaux de source sont "vivantes" à la sortie de la source, 
	"au griffon", mais l'entreposage en bouteille plastique sur plusieurs 
	semaines voire plusieurs mois lui fait en effet perdre toute vitalité et 
	entraîne un risque de contamination (bisphénols A ou autre substances pas 
	encore pointées du doigt) du fait du contact avec le plastique, de la 
	stagnation de l'eau et/ou de l'entreposage des bouteilles au soleil ou dans 
	des endroits chauds. 
	"Les minéraux des eaux en bouteilles n'ont aucun principes actifs. Ce ne 
	sont que des cailloux dissous sous forme d'ions, des agents totalement 
	étrangers. Au bout de quelques jours, ils perdent leur énergie, et les 
	minéraux floculent. Ils sont amorphes, et même contraires à la vie. Notre 
	corps va essayer, dans la mesure du possible, de les éliminer. Ce peut être 
	un facteur actif de la formation de calculs, de thromboses et de cancers 
	[...]" précise Jacques Collin (6) En effet, selon la formule de Rudolph 
	Steiner, le père de l'anthroposophie, "la substance qui n'est pas active 
	doit être éliminée, sinon elle est un facteur de maladie". 
	En outre, "Aucun contenant n'est jamais totalement chimiquement neutre 
	vis-à-vis de l'eau", rappelle le spécialiste Yann Olivaux. "Le PET, par 
	exemple, principal plastique des bouteilles, relarguerait des substances 
	agissant comme des perturbateurs endocriniens dans l'eau" (3). 
	Selon le site Bioaddict.fr, décidément très complet sur la question (un 
	article d'Emilie Villeneuve), des toxicologues de l'Université Goethe de 
	Francfort ont mis en 2009 en évidence la présence d'hormones eostrogènes 
	dans les bouteilles en plastique en analysant une vingtaine d'eaux 
	minérales. Les résultats ont été publiés dans la revue Environmental Science 
	and Pollution Research le 10 mars 2009. 
	Du point de vue hormonal, l'eau minérale analysée présentait une qualité 
	équivalente à celle des eaux usées en station d'épuration! Et la cause en 
	reviendrait à l'emballage plastique (PET - Polyéthylène Téréphtalate) 
	puisque les eaux minérales en bouteilles de verre contenaient des taux deux 
	fois moins élevés (mais en contenaient donc quand même!)
	Que les oestrogènes proviennent des bouteilles plastiques ou des résidus de 
	médicaments (pilules contraceptives notamment), les conséquences sont les 
	mêmes. Dans les rivières, les scientifiques notent une féminisation des 
	poissons des rivières avec pour résultat une moindre fertilité des mâles. Et 
	chez l'homme ? Aucun lien officiel n'a encore été établi mais les études 
	montrent que 15% des couples sont stériles et que le nombre de 
	spermatozoïdes chez l'homme a été divisé par deux en l'espace de 50 ans...
	L'entreposage de l'eau est un autre problème. Selon un article internet de 
	Franck Guilbert sur la revitalisation de l'eau, "Quand une eau stagne (c’est 
	le cas des eaux en bouteilles) ou quand elle est soumise à des pressions 
	importantes (comme dans les réseaux de distribution d’eau courante), les 
	assemblages de molécules se regrouperaient en paquets. Au bout de plusieurs 
	jours, l’eau a subi une diminution de résistivité électrique, elle s’est 
	oxydée et sa tension superficielle a augmenté. Elle a ainsi perdu de ses 
	qualités naturelles."
	Dernière problématique de l'eau en bouteille et non des moindres: la 
	pollution liée aux bouteilles! En 2003, plus de 5 milliards de bouteilles 
	ont été consommées rien qu'en France, générant 170 000 tonnes d'emballage en 
	plastique PET auquel il convient de rajouter les films plastique de 
	regroupement, selon l'étude "Mieux produire et mieux consommer - La 
	prévention des déchets d'emballages" du CNE (Conseil national de 
	l'emballage) et de l'Ademe (Agence de l'Environnement et de la Maîtrise de 
	l'Energie). A l'échelle mondiale, ce sont 2,7 millions de tonnes de 
	plastique qui sont nécessaires aux seules bouteilles, fabriquées en 
	polyéthylène téréphtalate (PET), un dérivé du pétrole brut. Soyons 
	pointilleux et rajoutons encore un peu d'essence pour aller acheter et 
	transporter ces volumineux packs de bouteilles, qu'il a eux-mêmes fallut 
	livrer par camions aux super et hypermarchés. Comme le souligne le WWF, 
	"transporter de l'eau Evian dans les DOM-TOM est une réelle aberration". 
	
	
	
	Problème d'arithmétique: sachant qu'une bouteille en plastique met plus de 
	500 ans à se dégrader, combien de temps faudra-t-il avant que nous changions 
	nos habitudes alimentaires ? Le recyclage ? Aux Etat-Unis, 40% des 
	bouteilles en PET récupérées en 2004 ont été traitées... en Chine! Pourquoi 
	faire proche lorsque l'on peut tout éloigner ? Incinérées, les bouteilles 
	dégagent de nombreux polluants toxiques (acide chlorique, métaux lourds , 
	dioxine,...) qui ne vont certainement pas améliorer la qualité globale de 
	l'eau...
	De ce point de vue, l'eau du robinet est bien plus vertueuse: de 100 à 1000 
	fois plus écologique que l'eau minérale en bouteille selon une étude menée 
	en Suisse au nom de la Société Suisse de l'Industrie du Gaz et des Eaux 
	(SSIGE) en 2006. Concrètement, l'eau du robinet permet d'économiser environ 
	10 kg de déchets par an et par personne par rapport à de l'eau embouteillée.
	
	Dernier constat: l'eau en bouteille revient très chère. "Alors que l'eau 
	minérale en bouteille n'est souvent pas plus saine que l'eau du robinet dans 
	les pays industrialisés, elle peut coûter jusqu'à 10 000 fois plus cher si 
	l'on tient compte de l'énergie utilisée pour la mise en bouteille, les 
	livraisons et l'éventuel recyclage des contenants", souligne Emily Arnold, 
	auteur d'une étude américaine sur l'eau (Earth Policy Institute, 2004) "A 
	environ 2,50 dollars le litre, l'eau en bouteille coûte finalement plus cher 
	que l'essence", ajoute-t-elle.
	Les sommes faramineuses dépensées en marketing par les marques d'eau 
	minérales ne sont pas non plus étranger au coût des bouteilles: il faut bien 
	financer les publicités d'une manière ou d'une autre...
	
	
	Vers l'eau parfaite...
	
	"Tout bien pesé, on peut dire finalement que la biologie est la science de 
	l'eau" 
	Fred Vlès (1885-1944), Professeur de physique biologique
	
	Bon, les problématiques ayant été soulevées et les questions qui fâchent 
	posées, que faire ? 
	Commençons par essayer d'établir un cahier des charges de ce que serait 
	l'eau idéale du point de vue de l'organisme, de la santé et de la vitalité.
	Pour les adeptes de la bioélectronique de Vincent (BEV), l'eau devrait être 
	légèrement acide (PH entre 6 et 7), aussi peu minéralisée que possible, avec 
	un redox (potentiel d'oxydoréduction) neutre ou légèrement réductrice (rH2 
	entre 24 et 28) c'est-à-dire une eau antioxydante et une résistivité située 
	entre 6 000 et 100 000 ohms.
	
	Qu'est-ce que le PH ? Le pH ou Potentiel Hydrogène mesure la capacité 
	énergétique d'un milieu (sa charge en proton (H+) et son caractère acide ou 
	alcalin. L'échelle varie de 0 à 14 avec une neutralité à 7. Une solution 
	avec un pH inférieur à 7 est acide (concentration en H+ et création d'un 
	champ magnétique positif) tandis qu'il est basique ou alcalin si supérieur à 
	7 (déficiente en H+ et champ magnétique négatif). Selon le site Wikipédia, 
	l'acide gastrique a un pH de 2, le jus de citron de 2,4-2,6, le coca cola de 
	2,5, le vinaigre de 2,5-2,9, le jus d'orange de 3,5, la bière de 4,5, le 
	café de 5, le thé de 5,5, le lait de 6,5, l'eau pure de 7, la salive humaine 
	de 6,5-7,4, le sang de 7,34-7,45, l'eau de mer de 8, le savon de 9 à 10 et 
	la chaux de 12,5. 
	Qu'est-ce que le rH2 ? Le rH2 ou redox ou facteur électrique mesure le taux 
	en électrons d'un milieu et donc son potentiel d'oxydoréduction et sa 
	capacité régulatrice. L'échelle varie de 0 à 42 avec une neutralité à 28. 
	Une solution avec un rH2 inférieur à 28 est réductrice (riche en électrons) 
	tandis qu'elle est oxydante entre 28 et 42 (pauvre en électrons). Or, selon 
	Jacques Collin, la pauvreté en électrons (au potentiel électro-négatif) 
	"amenuise la vitalité de notre organisme et arrête progressivement la vie". 
	"La base de la vie se nourrit d'électro-négativité!" et "il y a donc lieu de 
	rechercher la richesse électronique de l'eau" (6)
	Qu'est-ce que la résistivité (rô) ? La résistivité (symbole ρ) ou facteur 
	diélectrique est le contraire de la conductivité et représente la capacité 
	d'un milieu à ralentir le passage d'un courant électrique. Elle est exprimée 
	en ohms (Ω). Une résistivité basse (conductivité élevée) traduit une forte 
	concentration moléculaire et donc, au niveau de l'eau, une forte 
	concentration en minéraux. 
	
	Ces trois notions se retrouvent dans le Bioélectronigramme des eaux selon 
	Louis-Claude Vincent:
	
	Le terrain 1 (acide et réducteur) est celui de la vie et de la santé, riche 
	en protons et en électrons. 
	Le terrain 2 (acide et oxydé), zone des forces de conservation, comporte 
	beaucoup de protons mais peu d'électrons. Selon Richard Haas, 
	bioélectricien, "C'est le milieu favorable aux champignons, mycoses, lichens 
	de l'aigre et celui des antibiotiques. Les aliments non vitaux se situent 
	dans cette zone, comme les produits alimentaires cuits, industriels, de 
	conservation (stérilisation), les fast-foods. Il n'existe aucune eau 
	naturelle sur ce terrain." (4)
	Le terrain 3 (alcalin et oxydé), zone des forces de dégradation, comporte 
	peu de protons et peu d'électrons. Selon Richard Haas, c'est le "terrain de 
	l'homme moderne", un milieu favorable aux virus, aux maladies de 
	civilisation, au sucré et aux vaccins. On y retrouve l'eau du robinet 
	traitée et stérilisée (chlore-ozone). "Il y a 40 ans, le r Boyer, de la 
	Faculté de médecine, parlait déjà "d'une eau de canalisation, et non plus 
	d'eau potable, ne pouvant être consommée, à la longue, sans inconvénient 
	pour la santé" rappelle Patrice Stegmann. (5)
	Le terrain 4 (alcalin et réducteur), zone des forces de destruction, 
	comporte peu de protons et beaucoup d'électrons. "C'est le milieu favorable 
	aux maladies infectieuses à microbes pathogènes, à la putréfaction, au salé 
	et aux algues brunes." (4) 
	A défaut de source peu minéralisée dans son jardin, la solution du point de 
	vue de la bioélectronique est une filtration de l'eau du robinet par osmose 
	inverse suivie par d'une bio-dynamisation des eaux afin de rétablir les 
	paramètres organiques. C'est ce que propose notamment la fontaine Mélusine.
	
	Pour plus d'information sur la bioélectronique, voir l'Association ABE
	
	
	Quelles solutions ?
	
	"Il n'existe qu'une médecine. Elle est royale: celle de la prévention par 
	l'eau pure"
	(Pr Vincent)
	
	Passons maintenant en revue les différentes options proposées par le marché:
	
	La solution de purification la plus simple est le filtre à placer 
	directement sur le robinet. De taille et d'encombrement limité, il convient 
	de changer fréquemment le filtre (tous les 3 mois) et la qualité de 
	purification est réduite (une bonne partie du chlore, du plomb et des 
	pesticides mais pas les bactéries ou les résidus de médicaments par 
	exemple...) Comptez de 50 à 75 euros l'adaptateur et de 20 à 25 euros par 
	cartouche. Encore une fois, il n'y a aucune redynamisation de l'eau. Au 
	minimum, il conviendrait donc de la compléter avec une Carafe TC Design pour 
	rendre l'eau vivante. 
	
	
	
	En aval, les carafes filtrantes ont la côte du fait de leur tarif attractif 
	mais un test du magazine Que choisir (mai 2010) a montré leurs limites: 
	1. La purification est limitée: chlore, calcaire et plomb mais généralement 
	pas (ou mal) les nitrates, résidus de pesticides ou résidus de médicaments.
	2. Certaines cartouches contiennent du sel d’argent et relarguent donc ce 
	métal dans l’eau 
	filtrée. "Dans dix cas sur onze, les concentrations se situent entre 16 et 
	28 µg/l, alors que l'eau du robinet arrive à moins de 0,5 µg/l" précise le 
	magazine.
	3. Les cartouches doivent être remplacées tous les mois pour un coût 
	d'utilisation assez élevé (20 fois plus cher que l'eau du robinet)
	4. Surtout, la filtration n'est correcte qu'avec des carafes neuves en 
	laboratoire mais un usage classique en famille génère une prolifération 
	microbienne au niveau du filtre avec au final un résultat pire qu'à la 
	sortie du robinet. "Dans sept cas sur onze, l'eau filtrée s'est chargée en 
	germes bien au-delà des limites fixées par la recommandation" constate le 
	magazine des consommateurs. Alors que les recommandations sont de 100 
	germes/ml, l'étude a révélé un taux à l'usage pouvant grimper jusqu'à 200 
	000 germes/ml! Un nettoyage régulier et un entreposage au réfrigérateur 
	limiterait les risques mais boire de l'eau trop fraîche est problématique du 
	côté de l'estomac... A éviter, donc!
	
	Solution "extérieure" au réseau d'eau potable, l'utilisation de fontaine à 
	eau apparaît comme une aberration économique (les bonbonnes sont hors de 
	prix), écologique (réfrigération de l'eau et transport par camion) et 
	organique (l'eau stockée en bouteilles plastiques a perdu toute énergie 
	quand elle ne se contamine pas au contact de machines mal entretenues). 
	Cette solution "commerciale" ne survie en réalité que sur le mythe de l'eau 
	en bouteille "meilleure pour la santé". A éviter absolument!
	
	
	
	Au regard de ce qui précède, la Fontaine Mélusine n'aurait-elle que des 
	avantages ? Il est un fait qu'elle va bien au-delà de la simple purification 
	en profondeur (via charbon-actif et osmose inverse!) puisqu'elle biodynamise 
	ensuite l'eau (selon le concept Bignan-Violet) et l'informe au travers de 
	diodes lumineuses et d'une musique ininterrompue de musique classique. Au 
	final, une eau vivante et vivifiante, au plus près des besoins de 
	l'organisme! Côté contraintes, son encombrement (mais elle est très belle!), 
	la nécessité de vider régulièrement le réservoir, le gaspillage en eau lors 
	de son fonctionnement (comme tout système d'osmose inverse), son branchement 
	électrique et son coût (CHF 2520.- hors installation) qui, bien que 
	rentabilisable via l'économie de bouteille ou le gain en vitalité, la place 
	néanmoins dans les objets à destination des puristes. 
	Voir détails.
	
	Nettement plus abordable (985 euros HT), la Fontaine Eauriginelle® dispose 
	également d'une pré-filtration avant une filtration ultra-fine par osmose 
	inverse. Au contraire de la concurrence, l'eau ainsi obtenue est ensuite 
	reminéralisée par un bain de Lithotamne (une petite algue), redynamisée par 
	un vortexeur (création de tourbillons) et structurée par un cristal de 
	roche. Nettement moins belle que la Mélusine, elle se cache sous l'évier et 
	devient ainsi excessivement discrète, seul le robinet étant apparent. Le 
	gaspillage en eau est important du fait du principe de l'osmose inverse mais 
	le coût au litre produit reste sans commune mesure avec celui de l'eau en 
	bouteille. Dernier avantage: elle fonctionne sans électricité! 
	Voir détails ainsi que les autres modèles disponibles.
	
	
	
	Les solutions précédentes concernaient un unique point d'eau. Le Vitaliseur 
	GIE® couvre quant à lui l'ensemble de l'appartement ou de la maison 
	puisqu'il s'installe au niveau des canalisations, juste après le compteur 
	d'eau. Le système compte pas moins de 15 principes de fonctionnements, 
	génère des quintilliards de tourbillons (10.65 x 1034!), n'exige une fois 
	installé aucun entretien et ne gaspille pas d'eau! L'eau à la sortie des 
	robinets est tout simplement splendide: fraîche, vivante et beaucoup plus 
	douce, bénéfique donc pour la vitalité de l'organisme mais également pour le 
	respect de sa peau et l'entretien de la tuyauterie. Côté contraintes, la 
	nécessité de faire appel à un plombier et son coût (2500 euros HT), amorti 
	en quelques années pour ceux qui consommaient de l'eau en bouteille. Il 
	s'agit néanmoins à ce jour et à notre connaissance du meilleur système de 
	traitement de l'eau, disponible également - en plus grosse taille - pour les 
	piscines ou les immeubles. 
	Voir détails.
	
	Nettement plus abordable (949 euros HT), le Kit Source 5 s'installe 
	également le plus près possible du compteur d'eau afin de protéger 
	l'ensemble de l'installation. De quoi remplacer avantageusement un 
	adoucisseur sans ses inconvénients. 
	Le système de filtration est beaucoup plus classique puisqu'il consiste en 
	un filtre à sédiment 20 microns et un filtre à charbon actif. Il n'y a donc 
	pas de gaspillage d'eau mais il conviendra de changer les cartouches 
	régulièrement. Particularité par rapport à la "concurrence cartouches", 
	l'eau n'est pas seulement purifiée mais également redynamisée via un 
	vortexeur qui génèrera des tourbillons et permettra à l'eau de redevenir 
	vivante et bien plus douce!
	Voir détails.
	
	
	
	Les carafes TC-energy design, les "carafes les plus puissantes au monde" 
	selon son fabricant, sont une solution intermédiaire intéressantes lorsque 
	l'objectif n'est pas tant de purifier l'eau (aucune purification!) que de la 
	redynamiser, de la recharger en énergie de manière à favoriser son 
	assimilation par l'organisme. Disponibles en une variété de contenance - de 
	0.5 L à 10 L - et de motifs énergétiques, ces magnifiques objets sont un 
	hymne à l'eau et à la vie! 
	Voir détails.
	
	
	
	Sources:
	(1) Alain Huot, L'eau selon la naturopathie, Biocontact, Mars 2010, p.42
	(2) Alain Huot, Quelle eau boire?, Biocontact, Mars 2010, p.44
	(3) Yann Olivaux, Quelle eau de boisson ?, Biocontact, Mars 2010, p.48
	(4) Richard Haas, L'eau selon la bioélectronique, Biocontact, Mars 2010, 
	p.82
	(5) Patrice Stegmann, Quelle eau consommer?, Biocontact, Juin 2044, p.76
	(6) Jacques Collin, L'insoutenable vérité de l'eau, Guy Tredaniel Editeur.
	
	Pour en savoir plus...
	 
	 
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