LES TYPES D'EAUX: LES EAUX ADOUCIES

 

    

Voir également les articles du Blog:
Pourquoi un adoucisseur d'eau sans sel ?

Est-il dangereux de boire de l'eau adoucie ?
 

Actualité :

"L’article 11 de la directive (UE) 2020/2184 introduit au niveau européen des exigences de sécurité sanitaire
dans le cadre de la mise sur le marché et de l’utilisation des matériaux entrant en contact avec
l’eau destinée à la consommation humaine (EDCH).
Ainsi les matériaux ne doivent pas :
- être à l’origine, directement ou indirectement, d’un risque pour la santé humaine ;
- altérer la couleur, l'odeur ou la saveur de l'eau ;
- favoriser le développement de la flore microbienne ;
- libérer des contaminants dans les eaux à des niveaux pouvant engendrer un non-respect des exigences de qualité de l’EDCH.
"
(Source :
Note d'information N° DGS/EA4/2023/61 du 14 avril 2023 (page 135)

Or, comme nous le verrons ci-dessous, l'adoucisseur à sodium ne respecte potentiellement aucun de ces points !

 

  Filtration Minéralisation Dynamisation Santé Ecologie Coût Usage Note
Adoucisseurs Eau ---
bactéries!
-- ---
eau dénaturée
--- --- --- --- -20/20

NOTATION QUALITE DE L'EAU OBTENUE : -20/20
 

Un chapitre à part pour les adoucisseurs à sodium notés -20/20, soit la plus mauvaise note! Leur fonction principale est l'élimination du calcaire (le calcium et le magnésium sont remplacés par du sodium (Na) mais, installés encore trop souvent sur le circuit d'eau froide, devient alors problématique pour la consommation humaine du fait de sa teneur augmentée en sodium.

L'eau adoucie est bénéfique aux appareils électroménagers sensibles au calcaire mais est impropre à la consommation humaine ou animale. Selon un article de Lara Fabrizi pour la Société Lenntech, une eau trop douce (faible teneur en calcium et magnésium) serait d'autant plus à éviter que "l'eau faiblement minéralisée est hautement agressive pour les matériaux avec lesquels il vient en contact. Elle adsorbe facilement les métaux et certaines substances organiques des tuyaux, des revêtements, des réservoirs de stockage et des conteneurs." L'eau serait alors chargé de métal (rappelons que le plomb est responsable du saturnisme) et impropre à la consommation.

Un eau trop adoucie est donc agressive pour la tuyauterie avec risque de dissémination de polluants métalliques. Or un test du Laboratoire Cantonal de Thurgovie (Suisse) de mars 2017 a révélé que 90% des adoucisseurs testés avaient un réglage inférieur à 15°fH et même la moitié en dessous de 7° fH. A ce niveau d'acidité, ce sont les appareils électroménagers qui sont même à risque... sans parler de la teneur beaucoup trop chargée en sodium dans l'eau...

L’adoucisseur nécessite enfin un entretien rigoureux afin d'éviter un développement bactériologique (désinfection de l’appareil deux fois par an et nettoyage annuel), tout cela pour un coût conséquent (environ CHF 600 par an en Suisse et 180 euros en France).

C'est officiel: l'adoucisseur est mauvais pour l'eau !

En mars 2017, le Laboratoire Cantonal de Thurgovie (Suisse) a examiné 23 systèmes d’adoucisseurs choisis au hasard dans des maisons privées et des écoles. L’eau potable a été étudiée pour sa pureté bactériologique et sa composition chimique avant et après l’adoucisseur.

Pour 87% des adoucisseurs (20 sur 23), le nombre détectable de micro-organismes (bactéries et champignons) dans l’eau potable a au moins doublé! Dans le cas de 6 adoucisseurs (26 %) la valeur maximale légale pour des germes dans l’eau potable a même été dépassée de 3 à 600 fois!

Ceci représente un résultat préoccupant, puisqu’une charge bactérienne augmentée peut signifier non seulement une altération du goût de l’eau mais aussi un danger pour la santé. On savait que l'eau chargée de sodium n'était pas recommandée. On la découvre dans la majorité des cas, beaucoup plus dangereuse!

En Suisse, en vertu de la Loi Fédérale Suisse sur les aliments, le propriétaire de logements locatifs (et donc indirectement la Régie) a l'obligation de s'assurer que l'eau distribuée à leurs locataires demeure potable. Il ne doit en aucun cas la détériorer. Or n'est-ce pas ce qui se passe avec un adoucisseur ?  Que se passera-t-il en cas d'analyse de l'eau par un locataire ou s'il tombe malade ?  Une plainte au pénal ? 

Des informations officielles contre les adoucisseurs sont en effet disponibles... et elles mettent en garde !

En Suisse, la Société Suisse de l’Industrie du Gaz et des Eaux (SSIGE) - organisme faîtier à but non lucratif qui regroupe la plupart des acteurs de la distribution de l’eau - n'aime (officiellement) pas beaucoup les adoucisseurs (nous verrons plus bas de quoi il retourne en fait officieusement via un joli petit scandale made in Switzerland).

Dans sa notice "Information sur l'eau potable N°13 / 2008" intitulée "Dureté de l'eau: à quoi faut-il faire attention ?" elle met clairement en garde contre les adoucisseurs échangeurs d'ions dont la "forte concentration de sodium dans l'eau potable" est "critiqué par le corps médical". Elle signale le risque de corrosion de la tuyauterie ainsi que de propagation microbienne "ce qui pose de graves problèmes sur le plan de la santé".

​Son discours devient un peu plus timoré dans sa Notice technique d'information de juin 2015 "Adoucisseurs d'eau - Echangeurs d'ions" mais elle déconseille toujours l’adoucisseur en dessous de 32 °fH et ne le recommande pas vraiment au-delà non plus:

  • L’adoucissement de l’eau dans le logement n’est pas recommandé par la SSIGE lorsque la dureté totale ne dépasse pas 32 °f.
  • Des adoucisseurs d’eau mal entretenus sont souvent à l’origine de problèmes de qualité et de la prolifération de germes.

Ecoutons le Chef romand de la SSIGE (assez mal) s'exprimer sur le sujet lors d'une émission de la RTS du 14 février 2014 : "L'eau trop douce est néfaste pour la santé parce qu'elle devient très acide [...] Le propriétaire d'immeuble ne doit pas détériorer l'eau [...] Si l'eau est trop adoucie, elle devient agressive et peut détériorer les appareils"

A noter dans cette dernière notice du SSIGE une curieuse mention au chapitre 9: "Selon la directive européenne 98/83, la teneur en sodium de l’eau potable ne doit pas dépasser une valeur maximale de 200 mg/l. Le réglage de la dureté résiduelle entre 7 et 15 °f (eau douce) est, pour le logement, un réglage optimal qui permet généralement de respecter la valeur maximale de sodium recommandée." 

Déjà, le Manuel Suisse des Denrées Alimentaires (MSDA) fixe comme objectif qualité en matière de sodium un taux maximum de 20 mg / litre seulement ! Selon une information Que Choisir, "Les normes NF proposaient un réglage entre 12 °f et 15 °f en TH résiduel. Aujourd'hui, les normes CE n'imposent aucun réglage. Les professionnels de l'adoucissement recommandent un réglage entre 6 °f et 8 °f", ce qui semble bien bas mais limite ainsi les traces et donc l'insatisfaction des clients... Le réglage à 15° f est également recommandé par le Laboratoire Cantonal de Thurgovie qui relève donc que 90% des adoucisseurs testés avaient un réglage inférieur !

Mais la Suisse nous réserve un autre scandale ! Les installateurs sanitaires demandent à installer des appareils labélisés afin de se couvrir vis-à-vis de leurs assurances. Ils font en cela confiance à la SSIGE dont nous avons parlé plus haut. Or ce même organisme refuse de certifier les filtres ou les dynamiseurs... mais labélise les adoucisseurs ce qui les place de fait en situation de monopole ! Je critique d'un côté mais j'exclus tous les système concurrents de l'autre ! Combien de temps cette situation schizophrénique va-t-elle durer ? Tant que le scandale de la véritable qualité de l'eau n'éclatera pas, des adoucisseurs à sodium continueront à être installés sur le circuit d'eau froide, y compris dans des villes dépourvues de calcaire comme Genève ou Lausanne. C'est labélisé et donc recommandable n'est-ce pas ? Les installateurs sanitaires sont contents et le business peut continuer tranquillement, au détriment de l'écologie et de la santé des usagers...

En France, l'article R. 1321-53 du code de la santé publique, stipule que, pour les collectivités, l'adoucisseur doit être installé de façon à ce qu'une arrivée d'eau froide non traitée soit toujours à disposition de l'utilisateur.

C'est également ce que rappellent certaines Agences Régionales de Santé (voir ARS Île de France en 2018 par exemple) lors de leurs communications annuelles sur la qualité de l'eau distribuée: "Si vous possédez un adoucisseur, assurez-vous qu'il alimente uniquement le réseau d'eau chaude". Cela relève du bon sens puisque le tartre ne se forme qu'à partir de 55°C !

L'article 31 du décret du 3 janvier 1989 stipule en outre que "Les installations intérieures [...] ne doivent pas pouvoir, du fait des conditions de leur utilisation et notamment à l'occasion de phénomènes de retour d'eau, perturber le fonctionnement du réseau auquel elles sont raccordées ou engendrer une contamination de l'eau distribuée."  Avec le rajout de sodium et le rejet d'une eau chargée en sodium, n'est-ce pas le cas ?

Les particuliers sont nettement moins protégés puisque la législation tolère jusqu'à 200 mg / litre de sodium, ce qui est aberrant! Les professionnels arguent du fait que l'eau reste "potable" puisque dans ces limites mais il n'en demeure pas moins que, selon Richard Haas, l'OMS (Organisation Mondiale de la Santé) "déconseille vivement la consommation d'eau adoucie obtenue par échange d'ions, car celle-ci comporte trop d'ions de sodium qui sont préjudiciables pour la santé, surtout pour des personnes ayant des affections cardio-vasculaires."

Terminons avec le texte sans ambiguité de la Ville de Lausanne : "Le traitement de l'eau par un dispositif d'adoucisseur d'eau est inutile sur le réseau d'eau froide destinée à la consommation et peut même être dangereux pour la santé."

 

Quid de l'impact à moyen terme sur la santé ou la vitalité ? N'y a-t-il pas déjà dans l'eau suffisamment  de substances problématiques ? La durée de vie des appareils ménagers serait-elle plus importants que celle des humains ? La pollution de l'environnement (rejets importants) n'est-elle pas suffisante ? Le fait de retrouver ce genre de système sur l'alimentation d'eau classique est selon nous un véritable scandale sanitaire, lié à l'avidité ou à l'inconscience de certains acteurs de la filière. A éviter absolument (ou à coupler au minimum avec un osmoseur si vous avez la malchance d'en posséder un), d'autant que d'autres solutions anticalcaires existent, permettant là aussi des économies de savons et de crèmes pour la peau. Note -20/20.

Des variantes anti-calcaires promettent une "eau potable" (tiens, tous les professionnels ne seraient donc pas d'accord avec l'innocuité des adoucisseurs classiques ?) mais nous savons depuis la section sur l'eau du robinet que "potable" ne signifie pas "recommandable". Un système de ce type met du CO2 (gaz carbonique ou dioxyde de carbone) en contact avec le calcaire (carbonate de calcium et de magnésium) pour former du bicarbonate de calcium et de magnésium, beaucoup plus soluble dans l'eau que le calcaire. L'eau ne stagne pas, devient plus douce et le dosage du du CO2 permettrait même de régler le pH de l'eau en le rendant plus neutre... Une solution donc éminemment préférable aux adoucisseurs classiques à base de sodium... mais l'eau dans tous les cas reste morte ! Note -4/20.

Une bien meilleure solution est proposée via la gestion magnétique du calcaire. A ce titre le système intégral Biofiltre + Biodynamizer est certainement le plus efficace, notamment dans sa version 3.0.
 

La problématique du calcaire et du tartre

Carte Suisse de la dureté de l'eau
 

Un mot, donc, sur ce fameux calcaire à la base du gigantesque business des adoucisseurs d'eau et autres produits dérivés destinés à ménager nos appareils ménagers. Le calcaire (ou tartre) est une roche sédimentaire facilement soluble dans l'eau et composé majoritairement de carbonate de calcium (CaCO3) et de carbonate de magnésium (MgCO3), substances que l'on retrouve allègrement dans les eaux minérales sans que cela ne perturbe qui que ce soit. Ce qui serait mauvais pour les bouilloires serait bon pour l'organisme ? Evidemment pas mais l'on mesure ici la force du marketing...

Selon wikipedia "C'est en France, en Suisse et en Belgique la roche la plus courante qui compose autant des montagnes (Alpes, Jura, Pyrénées) que des plaines (Champagne), bassins (Bassin parisien) ou des plateaux (Ardenne)."  Il est ainsi possible de dresser une carte des eaux dures et on ne pourra pas faire grand chose en amont à part déménager... Le calcaire est dans la nature et c'est comme ça!

La teneur en calcaire dans l'eau, aussi appelée "dureté de l'eau" s'exprime en « degré français » (°f). Un degré fH correspond à 4 mg de calcium ou 2,4 mg de magnésium ou alors, plus simple à retenir, à 10 mg de carbonate de calcium (CaCO3) par litre d'eau ou 10 ppm de calcaire.

La Suisse utilise le degré français ou la notion de millimoles par litre (mmol/l), c'est-à-dire le nombre de particules de calcium et de magnésium par litre d'eau.  On y distingue 6 classes de dureté:

fH (°f) 0 à 7 7 à 15 15 à 25 25 à 32 32 à 42 + de 42
CaCO3 0 à 70 mg/l 70 à 150 mg/l 150 à 250 mg/l 250 à 320 mg/l 320 à 420 mg/l + de 420 mg/l
mmol/l 0 à 0,7 0,7 à 1,50 1,5 à 2,5 2,5 à 3,2 3,2 à 4,2 + de 4,2
Eau très douce douce moyenne assez dure dure très dure
Conductivité* < 300 entre 300 et 550 > 550

TH = Titre Hydrotimétrique ou dureté de l'eau
Le degré français (°f ou °fH)  est différent du degré anglais (°e), allemand  (°dH) ou américain (°TH, pour Total Hardness)
* conductivité à 25°C (µS/cm) : chiffres approximatifs car tous les ions sont conducteurs et pas seulement le calcium et le magnésium

 

Où l'on constate que "dure" passe à "très dure" et "très dure" à "extrêmement dure"...

Site français de la qualité des eaux
Avec données plus ou moins complètes selon les choses à occulter ?
De plus en plus souvent, ce n'est de fait plus la dureté mais la conductivité qui est donnée.
Voir alors la concordance dans le tableau précédent.
 

Officiellement, la présence de calcaire dans l'eau ne présente pas d'inconvénient pour la santé. "Bien au contraire" ajoute même Wikipedia. Calcium et magnésium sont en effet réputés bon pour la santé... oubliant ou occultant que l'homme est hétérotrophe et ne peut correctement assimiler que les minéraux de provenance végétale. La raison pour laquelle les naturopathes déconseillent les eaux affichant une teneur en minéraux de plus de 200 mg/l. En bioélectronique de Vincent (BEV), le taux est même de 50 mg/l !

Officiellement, le problème est donc avant tout d'ordre ménager: préserver les appareils du tartre, c'est-à-dire du dépôt calcaire survenant sous l'effet de la chaleur. En règle générale, seule la chaleur (55-60°C) est susceptible de cristalliser les minéraux pour former le tartre et voilà pourquoi il est absurde voire criminel de mettre un adoucisseur sur un réseau d'eau "potable". A tout prendre, il vaut en effet toujours mieux boire du calcaire que du sodium!

Côté appareillages et tuyauteries, le problème est différent: surconsommation électrique ou de produits de lessive, réduction du débit d'eau voire risque de prolifération bactérienne si les eaux chaudes se mettent à stagner. Il faut donc trouver des solutions!  Côté industriels et "big business", voir ci-dessus ce que nous pensons des adoucisseurs d'eau, notées -20/20!, désastreux sur le circuit d'eau "potable".

Côté "solutions alternatives", deux optiques sont à envisager:

  • la filtration qui, comme avec tout les autres minéraux, va supprimer une plus ou moins grande partie du calcaire (mais en encrassant plus vite la membrane si l'eau est dure) sachant que la meilleure filtration à savoir l'osmose inverse n'est pas possible sur l'ensemble des canalisations mais seulement sur un point d'eau unique. Il faudra dans ce dernier cas envisager une autre solution pour le réseau eau chaude.

  • des systèmes (notamment à base de puissants aimants) pour modifier la structure du calcaire en aragonite, l'avantage étant que ce dernier ne se fixe pas et sera mieux éliminé par l'organisme.  De tels systèmes se retrouvent, soit sur des dispositifs intégraux à installer sur les canalisations principales (eau froide + eau chaude et donc plus besoin d'adoucisseur spécifique!), soit dans des fontaines à eau. C'est la solution retenue par la majorité des systèmes que nous proposons: non seulement il n'y a plus d'encrassage mais les tuyaux sont même progressivement nettoyés!  Le système intégral Biofiltre + Biodynamizer est certainement le plus efficace, éventuellement en y ajoutant l'appareil spécifique anti-calcaire Biolimescaler au-delà de 40° fH.

 Stefandiller at the German language Wikipedia [GFDL (http://www.gnu.org/copyleft/fdl.html)
©Stefan Diller at the German language Wikipedia

Calcite

Cristaux compacts et irréguliers
avec un pouvoir élevé d'accrochage

  Aragonite

Cristaux de forme géométrique régulière
avec un faible pouvoir d'accrochage.


Globalement, il conviendra donc de bien faire la différence entre les solutions uniquement anti-calcaire et les solutions - que nous présentons sur ce site - visant à obtenir une eau propre et vitalisée, qui disposent généralement aussi d'un dispositif anti-calcaire.

Gardez surtout à l'esprit que le calcaire n'est spécifiquement problématique que sur le circuit d'eau chaude (formation de tartre) à partir de 55-60°C. En matière d'eau potable, il intègre simplement la problématique plus générale des minéraux non assimilables en excès.  

 

Exemple de gestion intelligente du calcaire avec le Biodynamizer

Eau réseau évaporée Eau dynamisée évaporée

L'eau du réseau (Viry en Haute-Savoie) a simplement été placée dans un verre jusqu'à évaporation totale. La dureté de l'eau dans cette zone est de 27° fH soit une eau considérée comme "assez dure". On y constate en effet un beau dépôt de calcaire.

Nettement moins de calcaire dans le verre d’eau biodynamisée mais aussi une structure très différente (germination précoce avec un calcaire plus agrégé ou aggloméré). Cette structure différente rend le calcaire moins incrustant et plus facile à éliminer

 

 

 

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Carte Calcaire France : © Skippy le Grand Gourou — Travail personnel, d'après Départements_de_France.svg, d'après une carte sur le site d'Auchan., CC0, https://commons.wikimedia.org/w/index.php?curid=13346235