Solutions audiocaments méta-relaxation:
stress de la grossesse et de l'accouchement!
Relaxation prénatale est le titre Audiocament méta-relaxation pour les
différents stress liés à la grossesse et à l'accouchement. La prévention du
stress chez la femme enceinte est d'autant plus importante qu'une récente étude
a démontré que le stress durant la grossesse augmentait de manière significative
le risque d'avoir un enfant asthmatique, jusqu'à 65% dans le cas d'anxiété
intense, notamment en fin de grossesse. Une autre bonne raison pour essayer de
rester durant neuf mois aussi zen que possible!
En dépit de son processus on ne peut plus naturel, la grossesse est toujours
un moment particulièrement délicat dans la vie d'une femme. A l'enthousiasme
de porter la vie s'ajoute la responsabilité d'apporter santé et bien-être à
l'enfant. A l'émerveillement de le sentir bouger s'ajoute la crainte de la
mauvaise manœuvre ou position. A la joie d'agrandir la famille s'ajoute le
stress de l'accouchement et des préparatifs. Pour les femmes actives, il est
également difficile de concilier vie professionnelle et maternité...
Au final, ce qui devrait être une période de joie et de repos se transforme
souvent, pour peu que le système immunitaire ne soit pas optimal, en un
véritable calvaire rempli de craintes et de tensions.
Mais attention: si ces tensions ne sont pas anodines pour la mère, elles ne
le sont pas non plus pour l'enfant. Présentée dans le cadre du congrès
européen de pneumologie 2008, une étude a démontré que le stress durant la
grossesse augmentait de manière significative le risque d'avoir un enfant
asthmatique, jusqu'à 65% dans le cas d'anxiété intense, notamment en fin de
grossesse. Voir article scientifique ci-dessous.
Une autre bonne raison pour essayer de rester durant neuf mois aussi zen que
possible! De ce point de vue, les CD Méta-Relaxation pourront se révéler une
aide précieuse...
Relaxation prénatale
La menace d'accouchement prématuré, la douleur à l'accouchement programmée
depuis la plus tendre enfance et même le risque de siège dans les trois
dernières semaines de grossesse sont des problèmes obstétricaux pour
lesquels, lorsque aucune cause organique n'explique le problème, la
littérature scientifique parle du rôle de facteurs psychologiques et de
l'efficacité d'une intervention adaptée à ce niveau. La grande relaxation
physique et psychologique obtenue par les suggestions et l'ambiance sonore
expliquent l'efficacité des suggestions orientées vers la détente utérine et
le confort périnéal. A utiliser à partir du troisième mois de grossesse.
Durée: 53:30
Article scientifique
Stress et grossesse : des risques d'asthme pour bébé?
Découverte britannique:
L'anxiété d'une femme enceinte
prédisposerait son enfant à devenir asthmatique
Les femmes enceintes stressées, en particulier en fin de grossesse, courent
un risque accru d’avoir un enfant qui deviendra asthmatique. C'est ce que
révèle une étude britannique menée sur une cohorte de plus de 5 800 familles
et présentée à Berlin au Congrès annuel de la Société Européenne de
Pneumologie (ERS). Pour les femmes enceintes très anxieuses, le risque que
leur enfant devienne un jour asthmatique serait même de 65% plus élevé que
pour des mères très peu anxieuses.
L’asthme, la plus fréquente des maladies chroniques en pédiatrie, touche
environ un enfant sur dix. Bien que les causes de cette affection
respiratoire ne soient pas encore toutes élucidées, il est établi que les
crises peuvent être provoquées, entre autres, par des facteurs
psychologiques ou émotionnels.
Deux études ont même mis en évidence récemment un lien entre l’anxiété des
proches de l’enfant (mère ou travailleur social par exemple) et le
développement précoce de sifflements respiratoires. Mais dans les deux cas,
seule la période post-natale a été analysée.
Or, des expériences chez des mammifères adultes exposés à un stress prénatal
ont montré que chez ces animaux on constatait une altération tant de l’axe
hypothalamo hypophysaire (qui contrôle les hormones liées aux grandes
fonctions de l’organisme) que du système immunitaire. Ces perturbations les
prédisposeraient à une inflammation des voies aériennes et à une
hyperréactivité bronchique.
Plus de 5 800 familles suivies pendant huit ans
En l’absence de données comparables chez l’homme, Raquel Granell
(Département de médecine sociale, université de Bristol, Royaume-Uni) et son
équipe ont donc décidé d'entreprendre une vaste étude prospective sur le
sujet.
"Notre première hypothèse était qu’un stress maternel pendant la grossesse
était associé à un asthme infantile. Notre deuxième hypothèse était que cet
effet ne passait pas par l'intermédiaire d'un mécanisme allergique, et qu'il
serait plus fort chez les enfants non sujets à l'allergie que chez les
autres" a expliqué à Berlin Raquel Granell.
Les résultats qu'elle a présentés au Congrès confirment brillamment que la
première hypothèse des chercheurs britanniques était la bonne.
Pour analyser le rôle sur l'asthme de facteurs psychologiques anténataux,
l’équipe de Bristol s'est appuyée sur les participantes d’ALSPAC (Avon
Longitudinal Study of Parents and Children), une cohorte de femmes enceintes
vivant dans l’ancien comté d’Avon et qui devaient accoucher entre le premier
avril 1991 et le 31 décembre 1992.
Cette importante étude épidémiologique, qui a déjà donné lieu à plusieurs
publications sur d'autres aspects, avait pour principal objectif
d’identifier le rôle des facteurs génétiques et environnementaux sur le
développement infantile. Au total, plus de 14 000 familles y ont été
incluses.
Raquel Granell a retenu quant à elle 5 810 de ces couples mère/enfant, ceux
pour lesquels les données nécessaires à son étude étaient exploitables.
L’anxiété maternelle a été évaluée par des auto-questionnaires remplis à 18
et 32 semaines de grossesse, permettant un classement en quatre sous-groupes
d'anxiété croissante. Quant à l’asthme infantile, il a été recherché vers
l’âge de sept ans et demi, également grâce à des questionnaires soumis à la
mère.
Sur le plan clinique, une recherche d’hyperréactivité bronchique a en outre
été réalisée à l'âge de huit ans par le test à la méthacholine,
parallèlement à des pricks tests cutanés destinés à déterminer si l’asthme
était d'origine allergique et à quels allergènes l’enfant était sensible.
Un asthme a été mis en évidence chez près de 13% des bambins. Et comme ils
s’y attendaient, les auteurs ont confirmé un fort lien entre la présence
d’une anxiété maternelle à 18 et surtout à 32 semaines de grossesse, et
celle d’un asthme de l'enfant à l'âge de sept ans et demi. Le risque
d’asthme s’est avéré ainsi augmenter en moyenne de 17% chez les enfants dont
la mère était stressée à 32 semaines de grossesse, et de 14% pour un stress
à 18 semaines, a précisé Raquel Granell au Congrès.
Un risque d’asthme multiplié par 1,65 en cas d’anxiété intense
Les résultats sont encore plus impressionnants quand la future mère faisait
partie du sous-groupe le plus anxieux : l’excès de risque d’asthme peut
alors atteindre 65% pour un stress maximal à 32 semaines, et 53% pour une
forte anxiété à 18 semaines de grossesse.
Ces augmentations relatives de risque d'asthme sont légèrement atténuées
après élimination de tous les autres facteurs, mais ils restent
statistiquement significatifs, ont souligné les auteurs.
Raquel Granell et ses collègues ont insisté aussi sur le fait qu’ils
n’avaient mis en évidence aucun biais lié à l'utilisation
d'auto-questionnaires (car les mères anxieuses sont susceptibles d'annoncer
davantage de symptômes).
Les chercheurs ont encore relevé que les familles perdues de vue pendant la
période d’observation se sont révélées avoir un niveau d'anxiété un peu plus
élevé, ce qui veut dire que les résultats présentés au Congrès sont même
plutôt en dessous de la réalité.
Certes, reconnaît Raquel Granell, le stress n’a pas été mesuré directement
par l’équipe médicale, et il est impossible de savoir si les troubles
anxieux des futures mères étaient passagers ou chroniques.
Toutefois, l’analyse d’un petit échantillon de cette cohorte par d’autres
auteurs avait mis en évidence une corrélation entre l’anxiété maternelle
pendant la grossesse et un trouble de la sécrétion de cortisol à l’âge de
dix ans. Il semble donc que l’hyperréactivité bronchique et l’asthme des
enfants victimes de stress anténatal soient plus probablement liés à des
troubles hormonaux de l’axe hypothalamo-hypophysaire qu’à un mécanisme
d’origine allergique, ont souligné à Berlin les chercheurs britanniques.
Le travail présenté au Congrès annuel de l'ERS constitue une première
importante. Il s'agit en effet de la première étude prospective chez l'homme
d'une association entre l'asthme infantile et l'anxiété de la mère lors de
sa grossesse, association qui se révèle être proportionnelle à l'intensité
de l'anxiété maternelle.
Contact:
Raquel Granell
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