« Le culte de l'eau pure fut le premier culte
des hommes,
car c'était celui de la vie et de la santé »
Louis-Claude Vincent, 1979
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L'eau
parfaite selon la Bioélectronique Vincent (BEV) ►
L'eau
parfaite selon d'autres normes qualitatives
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L'eau
colloïdale ?
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Vers l'eau
parfaite chez soi
Vidéo:
La qualité de l'eau
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Avec l'eau "parfaite", nous franchissons la dernière étape et dépassons les solutions intermédiaires pour nous intéresser aux approches les plus abouties à destination des puristes, de ceux qui ne se satisfont que du meilleur. L'eau "thérapeutique" ne pouvait être consommée que sur de courtes périodes. L'eau "vivante" n'était pas forcément dénuée de polluants. L'eau "pure" - l'eau distillée - est impropre à la consommation car par trop "vide". Qu'est-ce donc que l'eau "parfaite" ? Adosser à l'eau un tel adjectif, c'est évidemment prendre le risque de lui plaquer un certain nombre de préjugés. Naturellement, l'eau est parfaite: rien n'a à lui être ajouté, rien n'a à lui être retiré. Elle n'a besoin de personne pour donner la vie, elle est son propre référent, son propre Acteur. Les peuplades vivant dans les endroits les plus reculés de la planète - comme par exemple les Hunzas du Haut-Pamir au Pakistan, dans les lieux où l'eau n'a encore eu aucun contact avec la "civilisation de la pollution" - bénéficient d'une telle eau et présentent un état de santé et de vitalité particulièrement remarquable. Ils vivent généralement plus que centenaires, atteignant parfois les 150 ans. Parler d'eau "parfaite" revient ainsi à essayer d'établir un cahier des charges de ce que serait l'eau idéale du point de vue de l'organisme, de la santé et de la vitalité. C'est ce que l'ingénieur hydrologue Louis-Claude Vincent et le Dr Jeanne Rousseau ont tenté de définir via la notion de bioélectronique.
Selon l'Association ABE, promoteur naturel de la bioélectronique, "L'application de la Bio-Electronique à l'étude systématique de l'eau met en évidence un aspect dynamique de l'élément liquide qui n'est pas pris en compte par l'analyse classique : l'eau est jugée à état statique, sur des critères chimiques, qui ne traduisent pas ses facultés d'adaptation aux variations du milieu vivant. L'eau possède en réalité une individualité biologique liée à trois facteurs distincts :
L'eau dans l'organisme existe en outre sous deux formes différentes :
Eau libre et eau liée différent par leurs potentiels respectifs tout comme différent dans la nature les eaux vives et les eaux stagnantes, ceci constituant une bipolarité de la matière et assurant un équilibre morphopsychologie oscillant, qui conditionne lui-même l'état de santé." Il a ainsi été démontré que, dans un cours d'eau naturel tel qu'une rivière, l'eau avait la capacité de s'auto-nettoyer sur quelques kilomètres seulement. Selon Roger Castell, "La bioélectronique se fonde sur l'étude des charges magnétiques positives des protons et des charges négatives des électrons. Elle s'intéresse donc à la composition physique et atomique de la matière vivante et aux interactions électromagnétiques. Elle se situe bien au-delà de la composition moléculaire généralement utilisées en biologie. Elle permet donc d'élargir et de mieux comprendre tous les phénomènes liés à la vie." Selon le site du professeur Joseph Országh, l'eau biocompatible "est faiblement minéralisée, légèrement acide et possède un caractère redox indifférent ou légèrement réducteur, jamais oxydant (par rapport à l'eau chimiquement pure)." Traduit en chiffres, l'eau biocompatible "parfaite" ou "idéale" devrait avoir les caractéristiques bioélectroniques suivantes:
Comme le précise le livre de Roger Castell « très peu d'eau en France répondent à ces critères! » Idem en Suisse ou en Europe. La raison pour laquelle les pouvoirs publics ne font pas la promotion de la bioélectronique ? Les traitements chimiques favorisent en effet l'alcalose et l'oxydation.
Ces trois mesures donnent en effet un instantané de l'état de santé et de vitalité des substances testées. Amis cartésiens, bonjour! « Avec la bioélectronique, on aboutit à une médecine de diagnostic et de thérapeutique devenant rigoureusement scientifique [...] C'est à la source même de la vie et à son maintien en équilibre que s'adresse la bioélectronique, avec une sûreté et une instantanéité totales, conduisant à une maîtrise absolue, en vue, à la fois de la guérison et de la prévention » écrivait Louis-Claude Vincent en 1969 dans son livre Le paradis perdu de Mu. Nous vous épargnons ici les formules mathématiques du potentiel redox (E) reliant le pH au rH2 et de la quantification énergétique de Vincent (W), mis au point par Vincent et affinés par le Professeur Joseph Orszàgh (définition scientifique des paramètres BEV) et qui permettent - rien que cela! - de déterminer l'âge bioélectromagnétique d'un individu via les mesures du sang, de la salive et de l'urine. Arrêtons-nous plutôt sur le Bioélectronigramme des eaux selon Louis-Claude Vincent dont voici deux exemples:
Le terrain 1 (acide et réducteur) est celui de la vie et de la santé, la zone des forces vitales, riche en protons et en électrons. Les Anciens appelaient "asclepia acida" cette approche des soins à base d'aliments acides et réducteurs, donneuse et riche d'électrons. "C'est le lieu des eaux potables de qualité et des eaux thermales à la source. On y trouve aussi les ferments, produits lacto-fermentés, enzymes et vitamines naturelles" précise Richard Haas, ainsi que le vin, les graines germées, les jus et fruits frais de l'agriculture biologique ou encore le pain complet au levain, bref, les aliments les plus vitalisants pour l'organisme! Le terrain 2 (acide et oxydé), zone des forces de conservation, comporte beaucoup de protons mais peu d'électrons. Selon Richard Haas, bioélectricien, "C'est le milieu favorable aux champignons, mycoses, lichens de l'aigre et celui des antibiotiques. Les aliments non vitaux se situent dans cette zone, comme les produits alimentaires cuits, industriels, de conservation (stérilisation), les fast-foods. Il n'existe aucune eau naturelle sur ce terrain." Le terrain 3 (alcalin et oxydé), zone des forces de dégradation de la vie, comporte peu de protons et peu d'électrons. Selon Richard Haas, c'est le "terrain de l'homme moderne", un milieu favorable aux virus, aux maladies de civilisation, au sucré et aux vaccins. On y retrouve l'eau du robinet traitée et stérilisée (chlore-ozone). "Il y a 40 ans, le Dr Boyer, de la Faculté de médecine, parlait déjà "d'une eau de canalisation, et non plus d'eau potable, ne pouvant être consommée, à la longue, sans inconvénient pour la santé" rappelle Patrice Stegmann. "Nous avons tué le microbe, mais nous avons réveillé en même temps le virus et cela est mille fois plus grave" dénonce Richard Haas. "Les mesures bioélectroniques montrent que les coordonnées du sang des cancéreux au dernier stade de développement de la maladie, sont identiques à celle d'une eau de ville désinfectée au chlore" précise le site de référence www.eautarcie.org Le terrain 4 (alcalin et réducteur), zone des forces de destruction, comporte peu de protons et beaucoup d'électrons. "C'est le milieu favorable aux maladies infectieuses à microbes pathogènes, à la putréfaction, au salé et aux algues brunes." précise Richard Haas. C'est également dans cette zone que se situe les eaux ionisées de type Eau Kangen. Dans le second Bioélectronigramme plus complet, l'ovale indique les limites de la vie humaine, via la mesure BEV du sang veineux: pH de 6,2 à 9,4; rH2 de 15 à 35 et rô de 80 à 400. On y trouve une zone de "Santé Parfaite" (SP) et un terrain propice aux cancers, dans le terrain 3, basique et oxydé. L'eau "parfaite" selon la BEV se situe donc sur le premier terrain. Nous pourrions simplifier en disant qu'il s'agit d'une eau de source faiblement minéralisée et légèrement acide (toutes ne le sont pas) récoltée à la source et donc bien vivante!
Au final, cette note maximale supposerait les données suivantes:
Les auteurs Zerluth et Gienger proposent quant à eux un tableau récapitulatif de la qualité optimale de l'eau dans leur excellent ouvrage L'eau et ses secrets. Nous l'adaptons quelque peu en rajoutant notamment la dernière colonne:
Colloïde vient du grec kolla qui signifie colle (elle même colloïdale) et désigne un état de suspension d'une ou plusieurs substances, dispersées de manière uniforme et régulière dans une autre substance, formant de gigantesque complexes composés de milliers voire de milliards de particules insolubles, d'une taille variant entre 2 et 200 nanomètres. Les particules colloïdales dégagent une charge électrique très puissante appelée potentiel Zêta et se repoussent mutuellement. Les suspensions colloïdales sont ainsi un état intermédiaire entre les suspensions (mélange temporaire de différentes substances dont les particules ont une taille supérieure à 200 nm) et les solutions vraies (répartition homogène des particules de taille inférieure à 2 nm dans un solvant). "Dans les colloïdes, les substances dissoutes restent des éléments individuels parvenus à un équilibre idéal avec leur environnement." précisent les auteurs Zerluth et Gienger. La décantation d'une suspension colloïdale prendrait ainsi de 50 ans à deux siècles! La turbidité de l'eau est généralement causée par des matières en suspension et des particules colloïdales qui absorbent, diffusent et/ou réfléchissent la lumière. Le Dr. Robert Otto Becker du Veteran’s Hospital de l’Etat de Upstate New York, farouche opposant des ondes électromagnétiques artificielles, affirme dans son livre The Body Electric que l’organisme est entièrement composé de colloïdes, que chaque cellule est un colloïde. "Le corps humain est un ordinateur colloïdal presque parfait. Les liquides du corps ont une nature essentiellement colloïdale" écrit-il. De fait, tous les liquides du corps (sang, lymphe, salive, etc.) sont des systèmes colloïdaux et seul cet état stabilisé est signe de bonne santé. Dans le sang par exemple, le sang sera visqueux si les globules rouges sont agglomérés; il sera sain si les globules rouges sont libres et séparés les uns des autres. L'eau est elle-même un colloïde puisque nous avons vu que la molécule d'eau H2O s'associait à d'autres pour former des clusters, eux-mêmes baignant dans l'eau. Selon la définition courante, une eau dite colloïdale sera toutefois une eau chargée de colloïdes. De telles "eaux" se trouvent dans le commerce sous forme de compléments alimentaires renfermant oligo-éléments et acides aminés facilement assimilables... mais, vu leur coût, nous sortons clairement du domaine de l'eau de consommation courante. "Notre corps ne peut survivre sans colloïdes ! La biologie moderne met en évidence que, pour être assimilés, les nutriments sont nécessairement transformés en particules colloïdales par l'organisme. Les minéraux ordinaires, trop grossiers pour être directement assimilables, subissent une transformation obligatoire en particules colloïdales par l'organisme" précisent les sites de vente de ces "eaux colloïdales". Ils ont en partie raison mais oublient opportunément de dire que c'est l'eau vivante - plutôt que leurs compléments alimentaires - qui assurera l'homéostasie colloïdale de l'organisme ainsi que la transformation et le transport des nutriments. De fait, l'eau a avant tout pour fonction d'assurer la stabilité de l'état colloïdale des liquides organiques et c'est là que sa qualité fera la différence. "Une eau de grande qualité exempte d'information étrangères, avec clusters de petite taille, grande surface interne, gouttes de petites tailles, force de capillarité puissante, représente le meilleur moyen pour maintenir un état colloïdal stable dans les liquides de notre organisme. Pour cette raison, une bonne eau est la condition sine qua non de la réussite de nombreux processus de guérison." précisent les auteurs Zerluth et Gienger. Nul besoin de compléments alimentaires pour cela!
Côté pureté, les systèmes d'osmose inverse sont théoriquement les plus performants puisqu'ils filtrent l'eau à 0,0001 microns. Tellement performants qu'ils arrivent même à nous débarrasser des minéraux, au point que certains considèrent que l'eau devient trop vide et demande une reminéralisation. D'autres auteurs (dont myself) notent toutefois que l'eau osmosée conserve suffisamment de minéraux pour pouvoir être redynamisée, étape en effet indispensable après le mauvais traitement de l'osmose. C'est ce que proposent les Fontaines Mélusine, Iona ou encore Eauriginelle. Un autre procédé - de loin le plus techniquement abouti - est celui proposé par le Biodynamizer, au bénéfice de tous les robinets de la maison ou de l'appartement: multiples vortex, magnétisme et information naturelle. L'eau redevient alors quasi équivalente à de l'eau de source ! En tests boutique (avec le Revitaliseur GIE), ce type d'eau a été préférée 8 fois sur 10 à l'eau plus "artificielle" de l'osmose inverse. Nous ne sommes pas encore à 20/20 mais nous nous en rapprochons. Soyons modestes en effet et n'oublions pas que la perfection reste l'apanage de la nature!
Sources (de
données): |
www.lemieuxetre.ch /
www.solutionsbio.ch /
www.8fondamentaux.com
Consulting Ecologique / Benoît Saint Girons /
Tél: +41 76 532 8838 /
bsg[at]solutionsbio.ch
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